V3nom
Moulin à graines
Tigresse":196z41sa a dit:La réponse est intéressante, d'autant + qu'elle est chiffrée.
Par contre, pour comparer les manteaux en fausse et vraie fourrure, j'aurais aimé connaitre l'impact sur la faune, sur le long terme. (Par exemple : une vraie fourrure, une fois jetée, est biodégradable. Par contre, une fourrure synthétique ne risque-t-elle pas d'empoisonner ou étouffer plusieurs animaux qui mordraient dedans ou joueraient avec ?)
Tout est biodégradable (y comprit les déchets nucléaires), c'est une question de temps.
Et on peut très bien polluer (c'est à dire impacter nocivement un habitat naturel) avec des produits "verts" comme de la simple herbe coupée.
Donc ok pour étudier l'impact d'un manteau en fausse fourrure, mais pas sans celui de la vraie. (surtout que pour la vraie, tu vas devoir étudier l'impact des élevages d'animaux à fourrure en amont, et là, ça va être magnifique question écologie ^^)
Un truc qui me gène d'entré dans le texte de Olivier :
Pour mener cette comparaison, les auteurs mettent en scène deux personnages imaginaires (...)
Justement non, et JBJV l'a bien dit à plusieurs reprises : ce sont des personnes qui existent, donc ok ce choix est arbitraire (et se veut pas représentatif d'ailleurs), mais pas imaginaire (ce qui l'aurait autrement mieux placé dans une démarche représentative justement).
Sinon au fil de l'article, ce que je vois c'est un méli mélo d'étiquettes. (animaliste, végane, écologiste, environnementaliste, etc) et donc un débat de valeurs sur des étiquettes réductrices et pas forcément judicieuses sur le fond.
D'ailleurs il parle de différents mouvements véganes qui ne sont pas décris, mais il fait une grosse globalisation "écologistes" qui n'est pas plus juste non plus. Il existe différentes théories et pratiques "écologistes" qui peuvent être radicalement opposées.
Donc ce n'est pas plus "juste" de parler "des véganes" sans distinction que de parler "des écologistes" sans distinctions.