vaccins, transfusions, transplantations et véganisme?

L'Elfe
Un enfant peut contracter une pathologie Y, et 99 vont éviter la tuberculose qui a un risque mortel. Par exemple
Ca c'est une jolie vue de l'esprit non confirmée par les statistiques OFFICIELLES (inserm)
 
Va chez ton généraliste et demande lui combien il a vu de rubéoles il y a trente ans et combien il y a cinq ans...
Il y a quand même une petite fille qui a contracté la rubéole dans le sud, nécéssitant une hospitalisation. 80% des gens y sont vaccinés : pour l'irradiation du virus, il faudrait être 95%.
Il vaut mieux avoir un vaccin étant jeune, et après on oublie la suite ; plutôt que de contracter la pathologie et de se retrouver avec plusieurs médicaments à prendre! Sachant que chacun a sa toxicité, et ses effets secondaires.
C'est un peu comme... le soleil! C'est quoi le mieux? La crème solaire avant l'exposition ou la biafine et la douleur après le coup de soleil?
 
La médecine moderne : science ou religion ?
Satire bien vue et sans concession de la médecine moderne, engluée dans ses croyances, rigidifiée dans ses dogmes, à l’égal de la religion.

Par le Dr Larry Malerba
4 mars 2011

« La médecine moderne projette l’image d’une rigueur scientifique, mais possède toutes les caractéristiques d’un système de croyance religieuse.
La conséquence pratique de sa perspective insulaire en est le système agonisant du matérialisme occidental de la médecine actuelle. La réparation du corps physique est assimilé à tort à la guérison. Peu importe à la médecine d’être capable d’une vraie guérison ; elle ne comprend même pas la signification du concept.
»L’église » de la médecine moderne est un monstre de Frankenstein non fonctionnel, conséquence d’avoir élevé les abstractions analytiques du mental rationnel à un statut quasi-divin surplombant toutes les autres facultés de l’expérience humaine. C’est la simple caricature de ce que la science médicale peut et doit être.
Dans sa quête d’objectivité la médecine a rejeté ses racines spirituelles et perdu de vue son humanité. Elle ne peut être que le reflet de la culture d’où elle a émergé.
Elle rejette avec arrogance la sagesse bâtie sur des milliers d’années d’histoire humaine, s’est fragmentée au point d’être dissociée, dépourvue de bon sens, préoccupée de buts matériels à court terme, esclave de des suzerains financiers, et manque cruellement de la connaissance spirituelle indispensable qui lui permettrait de trouver son chemin hors de la folie qu’elle s’est elle-même imposée.

Comme pour certaines confessions religieuses, la médecine s’accroche farouchement à sa vision du monde lorsqu’elle est contestée par ses fidèles (les patients) dont les expériences vécues personnellement les amènent parfois à croire autrement.


Elle défend son dogme avec une puissante forme de pensée unique et est prompte à s’en prendre à des idées hérétiques qui menacent sa doctrine et ses intérêts territoriaux.
Comme certains mouvements religieux qui prétendent être les seuls et uniques vrais chemins vers le salut, elle affiche un degré inhabituel d’intolérance face aux non-croyants qui osent poser des questions.
Il s’agit d’un système de croyance fermé qui ne permet pas d’innovation ou de nouvelles idées. Elle prétend clamer la vérité, les faits et l’objectivité, mais s’expose elle-même autrement si nous examinons de près ses hypothèses, sa politique et ses pratiques.

L’église médicale trouve ses origines avec René Descartes au XVIIe siècle, un personnage clé dans la révolution scientifique et un promoteur du rationalisme, philosophie qui a élevé l’esprit et sa capacité de raisonner à un statut supérieur au-dessus de toutes les autres sources de connaissances.



Il y a cependant beaucoup de personnes pensantes qui considèrent la perspicacité spirituelle comme une forme supérieure de la connaissance.
Néanmoins, même si la réalité spirituelle et la réalité matérielle peuvent être considérées comme les deux moitiés du dualisme cartésien, l’un a progressivement commencé à l’emporter sur l’autre.
Ce qui n’a pas pu être mesuré, quantifié, ou affecté à une logique pour justifier sa vérité a été rejeté et mis de côté comme non pertinent et c’est à partir de ce dogme que la nouvelle église séculaire du matérialisme médical a pris racine.
C‘est le point de départ de la négation de la primauté de l’esprit, remplacé par le culte du corps physique comme le plus important, sinon la seule considération utile à la santé humaine.

La science médicale prend une position matérialiste en opposition au non-physique ; elle est fondée sur un déni de l‘intérêt de l’esprit.

L’ironie ici c’est que l’église de la médecine assume l’autorité et la fonction d’un système religieux, mais refuse de rendre compte du rôle que joue la dimension spirituelle dans la santé humaine.


D’autres qui comprennent l’importance des facteurs spirituels, comme l’au-delà, la réincarnation, les rêves, la synchronicité, et ainsi de suite, sont obligés de composer avec cette rupture dénaturée qui réduit le bien-être du corps physique à un point de vue matériel et laisse le bien-être de l’âme au bord de la route, comme si le corps et l’âme n‘étaient pas connectés et n’avaient aucune incidence l’un sur l’autre.

Avant d’aller beaucoup plus loin dans cette critique de la médecine occidentale, je tiens à préciser que j’utilise la médecine conventionnelle et le diagnostic quand ils me paraîssent nécessaires pour mes patients, ma famille et moi-même.

Cela a ses avantages et ses inconvénients.
Nous serions impuissants sans le diagnostic médical, la médecine d’urgence, l’insuline pour les diabétiques, les antibiotiques pour les maladies mortelles, etc.
Et bien que j’aie le plus grand respect pour mes collègues médecins conventionnels qui se consacrent au bien-être de leurs patients, le système lui-même est mal en point, basé sur une philosophie erronée, et en grand besoin d’une sérieuse révision. De même, je respecte la diversité de l’expérience religieuse et spirituelle des hommes, surtout quand cela respecte également la diversité et évite la tentation du prosélytisme.

Le « Scientisme » est un terme qui a été appliqué à la tendance de la science occidentale à se considérer comme le seul moyen valable de décrire la réalité et l’acquisition de connaissances.



Loin de la science objective, il est entaché d’une forme auto-imposée de partialité matérialiste et mécaniste.
Quand il tente de manière inappropriée et maladroite d’imposer sa vision du monde limitée sur des domaines où il n’a pas à s’en mêler, on ne peut plus le considérer comme une science légitime qui se pratique avec une prise de conscience de ses limites. A la place il commence à ressembler à une idéologie qui n’est pas sans rappeler une forme religieuse d’évangélisation.
Il est encore une fois plus qu‘ironique que la médecine conventionnelle tente de rabaisser certaines thérapies alternatives comme «basées sur la foi».

Comme toute bonne croyante, l’église de la médecine repose sur l’autorité de ses textes sacrés. L’essai randomisé en double aveugle contrôlé par placebo est l’étalon-or qui assure la pureté de la doctrine de l’église. Les études sacrées sont la seule source de la vraie connaissance; toutes les autres formes de connaissances sont considérées comme inférieures. Les tenants de la foi citent souvent les textes sacrés dans le but de réfuter et de discréditer les points de vue hérétique. L’incongruité flagrante ici est la nature sans cesse changeante et capricieuse des études de recherche médicale, qui se contredisent souvent les unes avec les autres et sont souvent parrainées et financées par l’intérêt même des entreprises qui ont à gagner de cette recherche. C’est pourquoi les véritables auteurs des textes sacrés modernes s’avèrent de plus en plus être les garants du complexe médico-industriel.

Il y a peu ou pas de place pour la dissidence à l’intérieur des cathédrales (hôpitaux) de la médecine et ceux ayant des idées novatrices sont généralement traités comme des parias. L’effet net est de veiller à ce que la doctrine médicale reste hermétiquement fermée, imperméable aux influences extérieures. Le sacerdoce médical conserve son statut d’élite et son autorité, mais au détriment de sa relation à ceux dont on devait assurer le service. En présentant un tel manque de réceptivité aux idées nouvelles et en insistant sur la supériorité de sa vision du monde, il ne peut être comparé qu’à une forme d’intégrisme, qui, à son tour, l’emmène très loin du domaine de la rationalité et de la logique dont il prétend ne demander qu’à sortir.

La bataille actuelle entre le monolithe de l’inflexible avis médical et ceux qui ont connu la dévastation de première main pour leurs proches forgée par les dégâts des vaccins et les réactions indésirables aux médicaments, est emblématique des problèmes créés par un système médical qui de plus en plus ne répond pas à ses patients. En arrivant à comprendre que la médecine moderne est le résultat d’une dépendance excessive aux fonctions d’abstraction et d’analyse de l’esprit rationnel, nous voyons comment elle peut prendre de telles positions si froides et calculées en face de tant de tragédies iatrogènes.

La science médicale mise sa crédibilité sur la rationalité et pourtant il serait plus exact de nommer ses croyances des justifications.

Nous sommes tous très familiers de ces mantras condescendants de déni médical: «ce ne sont que des preuves anecdotiques», «montrez-moi les études», «il n’existe aucune preuve concluante», «d’autres études sont nécessaires, » et « ce sont les risques qui viennent avec les bénéfices. » Ces rationalisations ne sont possibles que si nous acceptons l’idée fausse que la logique est supérieure à l’intuition, au sens commun, à l‘expérience de première main, et aux preuves empiriques.

Comme pour de nombreux systèmes efficaces religieux, un rituel et des symboles sont souvent utilisés pour inspirer la croyance et renforcer la foi des fidèles. L’église médicale a ses blouses blanches, son nettoyant vert, et ses stéthoscopes, symboles omniprésents de la prêtrise médicale. Et il ne faut surtout pas oublier le rituel du lavage des mains pour éloigner les germes malins en dépit de ce que la science basique nous apprend, que des pratiques trop antiseptiques contribuent au développement de mutations microbiennes, qui à son tour conduisent à une résistance croissante aux médicaments antimicrobiens. De telles pratiques ne me paraissent ni très rationnelles – ni scientifiques. Les fidèles devraient aussi aveuglément se soumettre à une longue série de gestes rituels tels que les visites médicales de routine, les vaccinations, la mammographie, les contrôles de cholestérol, et une batterie en pleine expansion de tests et de procédures que nous ont apporté les dernières technologies de pointe rendues possibles grâce à la générosité de l’industrie de la biotechnologie. Il faut se demander, avec ces vastes dépenses consacrées aux soins de santé, pourquoi notre santé collective en tant que société souffre autant.

En revanche, la vraie science médicale fidèle à sa mission initiale a été initialement conçue pour explorer la nature de la vie sans agenda prédéterminé. Elle ne s’est pas imposée de paramètres artificiels pour définir ce qui était et ce qui n’était pas digne d‘une recherche scientifique. Toutefois, lorsque la médecine contemporaine choisit de limiter la portée de ses enquêtes sur du purement matériel, il lui faut donc reconnaître les limites que cela lui impose en tant que science. Elle révèle un sérieux parti pris en déclarant que l’existence spirituelle est le seul fruit de l’imagination sans aucun impact sur la maladie et la santé. En choisissant de ne pas prendre en compte la réalité spirituelle, elle ne peut en même temps prétendre à aucune autorité sur les questions de vitalisme, d’énergie, de conscience, d’esprit ou d’âme.

La plupart des formes holistiques de santé et de guérison, d’autre part, commence avec l’hypothèse fondamentale que nous sommes des êtres spirituels qui habitent temporairement un corps physique pendant notre séjour ici -bas sur le plan physique. Si cette vérité doit être honorée, des lois et des principes spirituels énergétiques doivent être pris en compte pour les questions de santé et de maladie. Un autre principe important de base de l’holistique est que «tout est un» et que tout, par conséquent, est interconnecté. Parler du corps et de l’âme comme des entités distinctes est une construction artificielle de l’esprit rationnel non conforme à la réalité globale. Cette illusion de séparation est, néanmoins, une partie de l’héritage d‘une vision du monde réductionniste / mécanique / matérialiste dans laquelle la plupart d’entre nous a été endoctriné. Lorsque la médecine moderne refuse obstinément d’intégrer les questions d‘énergie, de conscience, d’esprit, de pensée, d’émotion, d’intuition, d’intention, d’imagination et de sens dans son équation des soins de santé, elle réaffirme simplement les limites de son champ d’application et son ignorance de la situation d’ensemble holistique. Et elle réduit la vie humaine à son plus bas dénominateur commun matérialiste.

Quand une personne rapporte qu’elle a résolu ses maux de tête chroniques après une régression dans les vies passées, et qu’une autre vit un soulagement de sa dépression après avoir retrouvé son âme chamanique, et que la médecine conventionnelle répond en rejetant de telles histoires comme de simples «anecdotes», elle révèle un mépris indigne pour des choses dont elle n’a aucune compréhension. Lorsque des traitements homéopathiques améliorent de manière spectaculaire un enfant présentant un trouble déficitaire de l’attention et que la médecine conventionnelle revendique que ce n’est tout simplement pas possible car cela défie les lois de la chimie comme elle l’entend, alors il est temps pour elle de retourner plancher afin de réviser sa conception de la nature mystérieuse de la santé humaine et de la maladie. Lorsque la médecine orthodoxe exige des explications qui sont conformes à sa vision du monde mécaniste avant de reconnaître ces phénomènes comme légitimes, elle démontre tout simplement son obstination intraitable et son refus d’ajuster sa compréhension.

En partant du principe que tout ce qui existe est le monde matériel, alors les conclusions sur notre approche de la maladie chez l’homme seront très différentes de celles qui proviennent de l’hypothèse que nous sommes des êtres spirituels dans un corps physique. La science sans enracinement dans quelque chose de plus grand qu‘elle est dépourvue de tout sens de la perspective et commence à prendre exactement le rôle de la religion dans les siècles précédents. L’approche réductionniste de la science médicale brise le corps humain en ses différents composants, mais n’a pas la capacité de synthèse pour les reconstituer à nouveau et donner un sens à l’ensemble. La science a produit une grande quantité de données ce qui augmente l’étendue de nos connaissances, mais la science médicale, telle qu’elle est actuellement configurée, est totalement incapable d’atteindre la sagesse nécessaire pour ajouter de la profondeur à notre connaissance de la santé et la guérison. It is not concerned with greater understanding as much as it is with reinforcing what it thinks it already knows.
La médecine moderne est devenue une ombre de son but premier, préoccupée par la politique et enivrée de sa propre puissance. La nouvelle religion médicale est fondée sur le mécanisme, le réductionnisme et le matérialisme, et s’est positionnée contre le bon sens, la compréhension spirituelle, et le holistique. La médecine ne peut guérir sans arriver à la conclusion que ces caractéristiques ne sont pas des ennemis, mais des principes complémentaires qui devraient travailler ensemble comme un tout unifié. Un monde médical plus écologique et plus intégré aurait un long chemin à parcourir pour soigner les plaies des praticiens tout comme celles des patients. »

A propos de l’auteur: Larry Malerba, est praticien, enseignant et chef de file dans le domaine de la médecine holistique depuis plus de vingt ans. Il est l’auteur de La médecine verte : contester les hypothèses des soins de santé conventionnels. Le Dr.Malerba est certifié en thérapeutiques homéopathiques, professeur de clinique adjoint au New York Medical College, et conférencier invité à l’Albany Medical College. Il a été président de la Société médicale homéopathique de l’État de New York. Il a obtenu son diplôme de médecine à l’Université de Des Moines et son diplôme de premier cycle à l’Université du Michigan.

SOURCE : http://www.naturalnews.com/031589_moder ... ntism.html

Traduit par Hélios
Bistro Bar Blog
 
Chouette texte :) (même si j'ai pas exactement tout lu en détails :red:)

Ce que j'en retiens surtout (parce que c'est ce qui pour moi est le plus important) c'est la nécessité de (re?)trouver un équilibre entre la matérialisme et la spiritualité, mais que dans tous les cas la médecine moderne n'est pas à jeter avec l'eau du bain.

Donc j'espère que cet équilibre arrivera à être atteint tôt ou tard :)
 
L'Elfe bonsoir
Va chez ton généraliste et demande lui combien il a vu de rubéoles il y a trente ans et combien il y a cinq ans...
Il y a quand même une petite fille qui a contracté la rubéole dans le sud, nécéssitant une hospitalisation. 80% des gens y sont vaccinés : pour l'irradiation du virus, il faudrait être 95%.
Il vaut mieux avoir un vaccin étant jeune, et après on oublie la suite ; plutôt que de contracter la pathologie et de se retrouver avec plusieurs médicaments à prendre! Sachant que chacun a sa toxicité, et ses effets secondaires.
Consulte d'abord les statistiques OFFICIELLES données par l'INVS par exemple et on en discute après si leurs chiffres peuvent donner lieu à interprétation. Et si tu es enforme compare ces statistiques à celles de pays étrangers. C'est un très gros boulot.
 
Très bon texte, Teïki. Je remarque que cette vision des choses a fait de gros dégâts en Chine également, y compris dans la médecie chinoise. Le plus souvent, prendre de la "médecine chinoise" se limite à prendre certains médicaments chinois (de la phytothérapie comme on dirait en occident, ce qui en soi n'est pas mal). Aussi paradoxal que cela puisse paraitre, j'ai eu un mal fou à trouver un "vrai" médecin chinois (je parle du style de médecine, pas de sa nationalité ;)) qui fasse la prise des pouls (élément indispensable du diagnostic chinois). Plus grave encore, l'aspect émotionel est complètement laissé de côté, alors qu'il s'agit d'une des choses les plus importantes lorsqu'on s'intéresse à la circulation de l'énergie.
 
Merci les amiES , l'article est long mais je l'ai beaucoup aimé aussi et je voulais vous le faire partager , parce qu'il n'exclut personne et reconnait les bienfaits des uns ou des autres, un équilibre comme dit Jezebel, harmonieux qui vise la santé de chacun. J'aime ce genre d'article qui ne garde que le meilleur en toutes choses et nous responsabilise dans nos choix.

C'est étonnant ce que tu dis là Wuzhen, j'avais trouvé une excellente clinique de médecine chinoise à Chiang Maï en Thaïland. Oui il faisait la prise des pouls et je suis bien d'accord que le côté émotionnel est primordial dans les pathologies, en terme de blocage de courant d'énergie. Un aspect pas du tout abordé dans l'allopathie mais qui a quand même pas mal évolué sur ce sujet, même en oncologie (mais pas sur l'aspect physique de ces courants). Il faut avouer aussi que les conditions de travail des médecins allopathes ne facilitent pas toujours cette écoute, mon beau frère médecin au Québec et en région, donc pas beaucoup de médecins volontaires pour y travailler, arrivaient souvent à 55 patients dans la journée, il avouait être un peu écoeuré par son boulot et pourtant il adorait la médecine. Son antidote perso était le lacher prise chaque année, l'hiver 2 mois de vacances en Asie, il faut aussi penser à son équilibre parce que d'être confronté en permanence et à haute dose à la maladie peut rendre malade le thérapeute, qui est dans un système, qui en est un acteur, mais pas toujours décideur.

A Montreal dans le quartier chinois on trouvait des pharmacopées chinoises (dont certaines particulièrement efficaces , là où la pharmacopée allopathique avait des lacunes en médicaments , pour élever le taux de fer par exemple sans effets secondaires) mais difficilement un bon médecin traditionnel.
Je pense qu'il y a complémentarité entre ces médecines , les lacunes des unes sont complétées par les autres , pas toujours non plus, hélas, comme dans le cas d'hypothyroïdie, rien d'autres que la médecine allopathique, en terme d'efficacité du moins.
 
Superbe article! Le sujet avait déja été abordé dans "médecine, religion et peur" avec un autre article très semblable. Effectivement la médecine occidentale a pris pour modèle les mécanismes de la religion dominante avec ses qualités mais aussi ses défauts.
 
L'Elfe bonjour
Va chez ton généraliste et demande lui combien il a vu de rubéoles il y a trente ans et combien il y a cinq ans...
Il y a quand même une petite fille qui a contracté la rubéole dans le sud, nécéssitant une hospitalisation. 80% des gens y sont vaccinés : pour l'irradiation du virus, il faudrait être 95%.
J’ai recherché sur internet et pas moyen de trouver des chiffres sur la rubéole avant 1970 et jusqu'à 1995. Donc difficile de comparer avec rien ! Mais si tu as des sources je suis preneur.
Sinon la rubéole, je connais. Une de mes belles sœurs s’est fait vacciner et son enfant est mort. Selon le toubib, il valait mieux qu’il ne soit pas arrivé à terme et le second qui a suivi rapidement est né avec un spina bifida et fragilité osseuse importante. Le suivant n’a rien. Donc il est tout aussi possible de citer ce genre de cas pour dissuader d’une vaccination inutile et dangereuse.

Voici que que l’on peut lire p.9 du http://www.plan_rougeole.pdf.

5.1 Arguments contre la vaccination
Les types d’argument utilisés contre la vaccination les plus répandus peuvent être résumés dans les catégories suivantes : vacciner représente une violation des droits de l’individu, la vaccination est le fruit d’un complot, la vaccination est inefficace, voire dangereuse, la vaccination est inutile.
5.1.1 Les professionnels
Les médecins généralistes ont une opinion très majoritairement favorable à la vaccination, mais certains expriment des réserves. Certaines études montrent que les professionnels peuvent être réticents notamment en rapport avec une non perception du risque épidémique, une maladie jugée bénigne, une méconnaissance des complications dont la fréquence de survenue est jugée faible, la crainte d’effets indésirables de la vaccination. Des doutes sont émis sur la durée et l’efficacité de l’immunité vaccinale ou sur la suspicion de conflits d’intérêt entre les décisions de Santé Publique et l’industrie pharmaceutique.
La pratique systématique de l’homéopathie et le fait d’exercer en cabinet individuel apparaissent également liés à une attitude réservée des médecins généralistes vis-à-vis de la vaccination.
5.1.2 Les parents
Les parents déclarent adhérer très majoritairement au principe de la vaccination. Une minorité exprime des réserves pour différents motifs. Parmi des personnes qui n’ont pas fait vacciner l’un de leurs enfants et qui n’envisagent pas de le faire, les principaux motifs invoqués sont la bénignité de ces maladies et la crainte des complications liées à la vaccination.
D’autres facteurs apparaissent liés à une opinion défavorable des parents vis-à-vis des vaccins comme notamment la méfiance exprimée à l’encontre des médicaments qui peuvent être assimilables à des drogues (notamment chez les jeunes de 15 à 25 ans) ou le recours à l’homéopathie ou l’acupuncture (notamment par les adultes de 26 à 54 ans). D’autres études montrent que la négligence des familles ou le fait que, selon elles, le médecin n’ait pas proposé le vaccin, entrent également en jeu.
"Il n'y a pas de fumée sans feu" dit un vieux dicton.
 
rebelote pour une nouvelle pub sur la rougeole, le vaccin antigrippe n'a pas suffisamment marché, il faut rattraper tous les bénéfices manqués en se rabattant sur le vaccin sur la rougeole.
Rappel, n'étant pas obligatoire, les utilisateurs de ce vaccin le feront à leurs risques et périls, ni les labos, ni l'Etat ne sont responsables des effets secondaires à risque.
 
Aujourd’hui re-pub sur FR2 sur le ROR dont le manque de vaccination (seulement 40% auraient subi un second rappel) aurait fait 5 morts en France. A comparer avec l’article suivant sur la base d’un article paru dans le Sunday Times du 24-10-2010
Sunday Times du 24 octobre 2010 titrait :
40 morts d'enfants britanniques reliés à une vaccination de routine depuis sept ans (Voir pièce jointe)
« On craint que 40 enfants ne soient morts après avoir reçu les vaccins de routine depuis sept ans. Ces vaccins pédiatriques sont également suspectés d'avoir causé des dégâts irréversibles sur le cerveau de deux enfants et d'avoir engendré 1 500 autres réactions neurologiques, dont 11 cas d’encéphalite (inflammation du cerveau) et 13 cas d’épilepsie et un coma.
« Ces données, fournies par l’agence britannique de régulation des produits de santé (MHRA) à la requête du Sunday Times grâce à la législation sur la liberté d’information (Freedom of Information Act), révèlent que depuis 2003, il y a eu plus de 2 100 réactions secondaires consécutives à la vaccination infantile, dont certaines ont fait craindre la mort. »
Le journal explique ensuite l’objectif de ces vaccins : « Quinze injections sont régulièrement pratiquées sur les jeunes enfants dans le cadre du programme gouvernemental de vaccination. Elles offrent une protection contre la polio, la diphtérie, les oreillons et la rougeole. »
Toutefois, il accuse : « Les circonstances de ces décès suspects et de ces problèmes neurologiques ont été divulguées deux mois après qu’une plainte a forcé le gouvernement à admettre que son programme de vaccination avait sévèrement endommagé le cerveau d’un bébé.
« Après avoir refusé pendant treize ans d’admettre que Robert Fletcher, actuellement âgé de 18 ans, a subi une grave atteinte au cerveau à cause du vaccin ROR, le gouvernement britannique a dû lui attribuer une pension. La mère de Robert, Jackie Fletcher, fondatrice de l’association Jabs qui regroupe les familles des enfants handicapés par les vaccins, a déclaré “Il est en général admis dans le milieu médical que seuls 10 % des décès et effets secondaires graves des vaccins sont réellement rapportés. Et le ministère de la Santé admet que ce problème est très supérieur aux données statistiques”.
« Jake Dukes, de Weymouth, dans le Dorset, qui a maintenant 18 ans, est resté cérébralement handicapé par le vaccin contre la coqueluche qu’il a reçu alors qu’il avait 2 mois. Il est resté à l’âge mental d’un tout jeune enfant, il est incontinent et cloué dans un fauteuil roulant. Il a touché la somme de 91 500 livres sterling, payée par la caisse de compensation des dommages vaccinaux du pays.
« Les parents de George Fisher sont certains que le ROR a tué leur fils de 18 mois. Il est mort en janvier 2006, 10 jours après avoir reçu ce vaccin. »
Il est important pour les familles d’apprendre que le Sunday Times, qui a traîné dans la boue le Dr Wakefield car il dénonçait les dangers du ROR, accepte enfin de publier des vérités indiscutables sur ce vaccin qui représente une menace pour les jeunes générations.
De toute évidence, les cas qu’il publie sont significatifs bien que non exaustifs, mais il ne faut jamais oublier que les autorités américaines s’accordent pour reconnaître que les chiffres officiels, si énormes soient-ils, ne représentent en vérité qu’un très faible pourcentage des complications survenues, comme l’a souligné Mrs Fletcher.
Le 2 juin 1993, la FDA avouait qu’une étude démontrait que « seulement 1 % des accidents graves étaient rapportés ». Enfin, une étude parue dans Money de décembre 1996, signalait à son tour que les complications déclarées représentent à peine entre 1 et 10 % des cas de réaction grave.
Il est certain que si l’on s’en tient au seul pourcentage de 10 % des décès et effets secondaires graves des vaccins réellement rapportés, ce qui représente un maximum, cela signifie qu’au moins 400 enfants sont morts à cause d’un vaccin et que 21 000 autres ont souffert d’un effet secondaire post-vaccinal, pour le seul Royaume-Uni, où aucun vaccin n’est obligatoire.
En réalité, la situation est certainement plus dramatique dans d’autres pays comme les États-Unis où la vaccination des enfants est obligatoire et où des milliers de cas sont, encore et depuis longtemps, en instance devant les tribunaux. D’autres ont directement été réglés à l’amiable par les laboratoires et personne n’en parle.
Nous retrouvons ici le même comportement des instances officielles qui, comme en France pour les dégâts causés par le vaccin de l’hépatite B, dédommagent en silence des victimes, tout en persistant à affirmer qu’il n’existe « aucun » problème.
Le 24 février 2009, Robert F. Kennedy Jr révélait à son tour dans le Huffington Post qu’une importante enquête menée par CBS News avait mis à jour 1 322 cas d’effets neurologiques graves engendrés par le seul ROR, dont l’autisme, qui avaient déjà été dédommagés par les tribunaux depuis 1988 pour des sommes dépassant parfois le million de dollars.
Ce vaccin, si fortement recommandé par nos services de santé que tout le monde ou presque le croie obligatoire, ne déclanche « aucun effet secondaire en France », et les crèches en font une condition sine qua non pour l’admission des enfants.
Quant verrons-nous, à l’instar du Sunday Times, Le Figaro ou Le Monde commenter ces accidents, bien moins rares qu’on veut nous le faire croire ? Peut-être lorsqu’on admettra enfin que nous vivons sous une dictature médico-scientifique !
40 enfants britanniques tués par le vaccin ROR, mais la réalité est 10 fois pire
40 enfants sont morts après une vaccination de routine comme le ROR (= rougeole-oreillons-rubéole) et 2100 enfants supplémentaires ont souffert d’une réaction post-vaccinale sévère. C’est ce que les autorités de santé britanniques ont été forcées de dévoiler cette semaine- et ce tableau ne représente que la pointe de l’iceberg.
Deux des enfants vaccinés se retrouvent à présent avec des dommages cérébraux irréversibles et 1500 autres souffrent d’effets neurologiques dont 11 cas d’encéphalite (inflammation du cerveau) et 13 cas d’épilepsie et de coma. Globalement, il y a eu plus de 2100 réactions secondaires consécutives à un vaccin infantile au Royaume Uni ces sept dernières années.
L’agence britannique de régulation des produits de santé (MHRA) a été forcée de révéler ces données suite à la requête d’un journaliste sur base de la législation sur la liberté d’information.
En réalité, le tableau est fort probablement bien pire. Les cas évoqués par le MHRA sont seulement ceux qui lui ont été rapportés par les médecins ; donc si le médecin ne croit pas que le vaccin puisse être en cause, il ne rapportera pas ce cas à l’agence. On suppose que seuls 10% des décès et effets secondaires graves des vaccins sont réellement rapportés et, dans ce cas, cela signifie que 400 enfants sont morts à cause d’un vaccin et 21 000 autres ont souffert d’un effet secondaire post-vaccinal, pour le seul Royaume-Uni.
En réalité, la situation pourrait être encore bien pire dans d’autres pays comme les Etats-Unis où la vaccination des enfants est obligatoire.
Le mois dernier, le gouvernement britannique a été forcé par un tribunal de payer des dommages à une maman dont le fils s’est retrouvé avec de sévères dommages cérébraux après vaccination par le ROR. Et 500 autres cas similaires sont en cours devant les tribunaux britanniques.
Ces données contribuent à un recul majeur dans la relation entre parents et médecins.
La plupart des parents ont accepté les assurances récurrentes des médecins et des autorités de santé selon lesquelles les vaccins sont sûrs et qu’en faisant vacciner leurs enfants, ils faisaient ce qu’il y a de mieux pour eux et pour la communauté.
Maintenant, si les choses se passent mal, les parents pourraient être moins enclins à croire les dénégations du médecin qui nierait que le vaccin puisse être en cause.

http://expovaccins.over-blog.com/articl ... cin-ror-et
 
relevé sur bonjour docteur
La vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole est, par exemple, fortement conseillée aux enfants accueillis en collectivité. Pourtant, seulement 40 % des enfants de 2 ans ont reçu les deux doses nécessaires alors que l’objectif de la DGS était d’atteindre les 95 %. Pour ce qui concerne le vaccin contre la grippe, recommandé au plus de 65 ans, on note une couverture vaccinale de 61 % alors que l’objectif visait les 75 %.
Les français auraient-ils une prise de conscience sur le leurre des vaccinations après la farce de la grippe aviaire, du H1N1 sans AMM et autres bavures du même genre?
 
La grippe est moins dangereuse que son vaccin. Les personnes ayant été infectées par la grippe A(H1N1) fabriquent des anticorps actifs contre un grand nombre d’autres souches de virus grippaux.
C’est ce que rapporte l’étude de l’équipe du Dr Patrick Wilson de l’université de Chicago…Précisons que le vaccin n’est pas totalement fiable et qu’il est malheureusement fort probable que le risque de développer une atteinte neurologique soit accru après la vaccination. En effet, de nombreux cas de narcolepsie, une maladie très rare provoquant de sévères somnolences au cours de la journée, ont été signalées en Europe chez les personnes vaccinées avec le Pandemix (GSK) Si le doute est encore permis sur le lien existant entre le vaccin et le trouble neurologique, le rapport provisoire de la National Narcolepsy Task Force finlandaise publiée le 1 Février, a le mérite d’être clair : soixante enfants et adolescents auraient contracté une narcolepsie suite à une vaccination contre le virus H1N1, ce qui correspond à un risque 9 fois plus élevé de contracter la maladie après la vaccination. Alors que l’OMS commence à s’inquiéter de l’augmentation drastique du nombre de cas de narcolepsie chez les jeunes, les conclusions définitives du rapport devraient être connues en aout 2011.
Source : Journal of Experimental Medicine 10 janvier 2011.
L’étude « les vaccins pour prévenir la grippe sur les adultes sains » publiée à la librairie Cochrane, dénonce l’industrie pharmaceutique dans son intégralité les auteurs se sont efforcé de rechercher et d’étudier les recherches traitant des effets du vaccin. Ils n’ont pas trouvé de preuve tangible de la vaccination de la grippe sur des adultes en bonne santé âgés de 18 à 65 ans et estiment que la plupart des essais sont inadéquats.
Pire ils ont établi que les seuls essais prônant les bénéfices du vaccin étaient financés par les industriels. Selon eux les études financées par les industriels avaient plus de chance d’être publiées dans les journaux prestigieux. De plus les scientifiques ont relevé des cas d’effets secondaires graves provoqués par le vaccin, en dépit des rapports inexacts prétendant le contraire. Cinquante rapports analysés. Ils ont épluché le Cochrane Central Register of Controlled Trials (central), The Cochrane Library (n° 2, 2010) Medline (janvier 1966à juin 2010) et Embase(1990 à juin 2010). Ils ont tenu compte de cinquante rapports parmi lesquels 40 essais cliniques portant sur plus de 70.000 personnes. …tous les types de vaccins ont été pris en compte : vaccins vivants-atténués ou tués- ou inactivés à fraction
« Les résultats tendent à conseiller la vaccination contre la grippe sur des adultes sains. En effets les adultes sains ont peu de chance de développer des complications respiratoires, le recours au vaccin ne saurait être recommandé que dans des cas précis, comme mode de prévention individuel » expliquent les rédacteurs de l’étude, non sans une certaine retenue « les études financées par les labos sont plus souvent cités en référence que les autres études. Aucune preuve démontrant l’efficacité du vaccin n’a pu être apportée. Il est absolument flagrant que les conclusions sont largement orientées » concluent-ils.
Pour consulter cette étude : www. ncbi. Nlm. Nih.gov/pubmed/20614424
Source : GaiaHealth.com 16 -12-2010
Source Nexus
 
inhabituel
LE SANG : UNE CIRCULATION A GEOMETRIE VARIABLE
Une explication inhabituelle sur la circulation sanguine.
« Le sang ne circule pas ! », cette conception erronée, avertit le Dr Vial, généraliste, ancien chef de clinique à Montpellier, aujourd’hui médecin homéopathe du sud de la France.
« Le globule rouge se déplace à 700 microns par seconde ; soit 2052 m/heure. Ramené à un circuit global de plus de 100.000 km de vaisseaux sanguins, c’est pratiquement du sur place…. »
« C’est étrange de trouver dans le sang des cellules d’un diamètre supérieur aux conduits traversés, censés passer par des capillaires au prix de contorsions multiples… »
« le pouls c’est l’écho d’une onde de pression et non de la circulation sanguine… »
Pour l’oxygène circulant dans le sang ? C’est simple l’oxygène est poussé par la pression « L’oxygène est capté par les globules rouges au niveau des alvéoles pulmonaires, mais les globules rouges empilés les uns sur les autres comme des bérets basques, se passent l’oxygène de l’un à l’autre
La circulation du sang dans les réseaux capillaires et veineux n’est pas régulière, elle s’arrête et même elle s’inverse, puis elle reprend. »Précis d’histologie humaine. Masson 1980
source Nexus
 
ce jour sur France 5: "silence , on vaccine"franco-canadien surtout axé hépatite B
 
Janic, merci de bien vouloir d'utiliser la fonction editer :)
 
Qu'au lieu d'ouvrir autant de sujets à la suite tu peux tout mettre dans le même message, c'est plus simple pour lire :)
 
Honnêtement, si je suis a deux doight de la mort... je met le végétarisme/végétalisme/veganisme de coter et je sauve ma peau... :confus:
 
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