Actualité

  • Auteur de la discussion Anonymous
  • Date de début
D'ailleurs, rapport au PNNS, c'est pas illégal ça de faire un repas végé par semaine en restauration collective ? :anger:
 
Ravelle":1r0npbd8 a dit:
D'ailleurs, rapport au PNNS, c'est pas illégal ça de faire un repas végé par semaine en restauration collective ? :anger:
Je te rassure, la situation va forcément empirer une fois que les parents se seront rendus compte qu'on propose du tofu à leurs bambins...
Le tofu est tellement stéréotypé végétarien que ces parents croiront à l'embrigadement à la secte végé.
 
Y a qu'à leur dire que c'est de la viande ultra pasteurisée.
On fait bien croire aux enfants que les haricots sont des frites vertes pour leur faire manger.
 
kob27g":2jc2dhge a dit:
Le tofu est tellement stéréotypé végétarien que ces parents croiront à l'embrigadement à la secte végé.
Pas sûr ; enfin je n'avais jamais entendu parler de tofu avant d'arriver ici, donc je ne suis pas sûre que les parents d'élèves en aient une représentation particulière.
 
D'un autre côté, pour éviter que l'assiette ne coûte + cher en bio, il fallait bien limiter la ration de viande. (Je me dis que les calculs du prix de revient d'un repas ont dû influencer le choix d'au moins un menu végé par semaine).

Et quand les insectes seront introduits au menu des cantines scolaires, vous croyez que beaucoup de parents vont se bouger ? :D
 
Oui mais ça c'est plus culturel. Pendant des siècles la viande a été réservée aux plus aisés. Donc, forcément quand le peuple y a eu accès, il en a abusé.
Aujourd'hui c'est perçu comme une nécessité. Le pire bien sur c'est que les pays sont en développement car ils n'ont pas de viande, et pour l'INSEE, ne pas manger de viande au moins une fois tous les deux jours est un indicateur de pauvreté.
 
Lapinotte":tqxsub10 a dit:
http://www.atlantico.fr/rdv/revue-blogs/pourquoi-nouveaux-vegetariens-ne-sont-plus-doux-dingues-ou-sinistres-ennemis-plaisirs-chair-qu-on-imagine-louise-hoffmann-952732.html#


Un article sur nous, nos motivations avec des références Veggie Poulette et Insolente Veggie. Je suis en train de lire l'étude sociologique en lien avec l'article.
Du très bon atlantico. Les végés sont caricaturés comme bobos gauchistes.
 
Les commentaires ne volent pas haut.

Mais je suis étonné que certains com' crient "à la caricature".
Oui, le portrait brossé est simplifié, mais je trouve que ça retransmet pas trop mal la philosophie vg actuelle. Après tout, cet article est assez court.

Bref, je le trouve pas mal cet article.

kob27g":2jynrxya a dit:
Du très bon atlantico. Les végés sont caricaturés comme bobos gauchistes.
Mouais. Certains trucs (Velib') s'arrêtent "aux frontières de Paris" donc la caricature tombe un peu à l'eau.
 
Oui perso je suis de l'avis de falcon, même si c'est caricatural pour une fois ça nous en met pas plein la tronche. Je voulais aussi partager l'article de sociologie que j'ai découvert avec.
 
Mais que c'est dommmmmmmmaaaaaaaaaaaaaaaaaggggggggggeeeeeeeeeeee ! :whistle:

Saumon : reportage à charge, filière en crise

Depuis la diffusion au mois de novembre sur France 2 d'un reportage d'Envoyé spécial sur les méthodes de production du saumon d'élevage en Norvège, la filière est en crise. Reportage d'Antoine Sabbagh à Boulogne-sur-Mer.

Le saumon, poisson le plus consommé par les Français, n'a plus la côte : depuis deux mois, ses ventes ont chuté de plus de 20 %.

Deux raisons à ce phénomène : la hausse des prix, et surtout un reportage choc d'Envoyé Spécial, diffusé sur France 2 le 7 novembre dernier, et qui se penchait sur les dessous de l'industrie mondiale du poisson d'élevage en Suède, en Norvège, au danemark et au Vietnam.

Le consommateur se méfie

Le sujet révélait un usage massif d'antibiotiques et de pesticides, une utilisation de farines animales, des pollutions au mercure et aux PCB (Polychlorobiphényles) et des défauts de traçabilité.

De quoi dissuader le consommateur, comme a pu le constater le journaliste de France Bleu Nord Antoine Sabbagh à Boulogne-sur-Mer, capitale de la transformation du poisson, où certains parlent déjà de "crise du saumon".
C'est vraiment trop bête... 0:)

Bien, maintenant il n'y a plus qu'à investir dans une usine de simili-saumon bio et tuer le marché du saumon. >:)
 
Ah oui je suis très très très triste pour la filère du saumon tiens, je vais y aller de ma petite larme.





Ou pas :p
 
daemon666":2ud6ey4d a dit:
http://blogs.rue89.nouvelobs.com/liberaux-fiers/2014/01/30/chenilles-et-mites-la-cantine-les-militants-du-bio-lont-bien-cherche-232189

Oui oui, le bio c'est dangereux on retrouve des insectes, et puis tous ces militant bio font que nos enfant de bénéficient pas des bienfaits des OGM ... -_-
Déjà Rue89 ne brille pas ces articles alors les blogs affiliés à ce site. En plus, le rédacteur se revendique d'être de la "Gauche Libérale" :mmm: :mmm:
 
Oh mon dieu mais c'est top horrible des chenilles dans les brocolis :ROFLMAO:, parce qu'ils ne nettoient pas les légumes avant de les cuisiner eux ? Bientôt ils vont râler parce qu'il y a de la terre sur les carottes, non mais vous vous rendez pas compte à cause de ces dangereux extrémistes du bio il y avait de la terre sur les carottes, du caca de vers de terre quoi ! Vive l'hydroponie pleine de pesticides au moins avec ça les légumes arrivent propres et sans vers puisque même les chenilles n'en veulent pas de ces horreurs :tongue: .
 
Aïe, aïe, aïe...

Monsanto souhaite se mettre au bio
Le géant de l'agrochimie s'est allié à une entreprise danoise afin de développer des solutions de "lutte biologique" dans les champs. Une annonce qui fait peur aux autorités françaises qui face à ces énormes machines industrielles redoutent de ne pas être à la hauteur pour parvenir à un réel contrôle de ces activités.

Monsanto s'intéressent de plus en plus aux solutions de "lutte biologique" dans les champs ce qui effraie les autorités françaises

Pour réduire l'usage des pesticides, herbicides et autres fongicides et pour doper les productions végétales, certains agriculteurs ont recours à des produits naturels dits de biocontrôle.

Des insectes et des champignons

Il s'agit d'insectes comme par exemple les coccinelles qui mangent les pucerons ou de des champignons, bactéries ou phéromones. Des solutions bios mais difficiles à produire à grande échelle.

Plusieurs grands fabricants de produits phytosanitaires se lancent dans le secteur. En décembre dernier, l'américain Monsanto s'est allié au danois Novozymes, numéro un mondial des enzymes alimentaires et industrielles.

La France a une longueur d'avance

Selon ce géant de l'agrochimie, l'industrie des produits biologiques agricoles représente aujourd'hui environ 2,3 milliards de dollars par an (1,6 milliard d'euros).

"Face aux géants de la chimie, il faut qu'on crée des géants du biocontrôle" prévient Stéphane Le Foll. Le ministre de l'Agriculture qui veut profiter de la longueur d'avance que la France possède dans ce domaine. en effe, une vingtaine de petites et moyennes entreprises très innovantes travaillent déjà sur ce terrain de la lutte biologique.
:mmm:
 
Pour l'expert en énergie que tu es, ça ne devrait pas t'étonner. Les ressources en pétrole, nécessaire à la production de pesticides, diminue. Tout comme Total investissant dans les énergies renouvelables, Monsanto sécurise ses revenus en investissant dans le bio...
 
Houla mais que vont-ils faire du bio ? Ça sent l'arnaque ça, ou alors ils veulent faire du bio pour le vendre très cher aux riches des émirats arabes :confus: .
 
kob27g":1kbh21cq a dit:
Pour l'expert en énergie que tu es, ça ne devrait pas t'étonner. Les ressources en pétrole, nécessaire à la production de pesticides, diminue. Tout comme Total investissant dans les énergies renouvelables, Monsanto sécurise ses revenus en investissant dans le bio...
Ça m'étonne à peine. Mais ce qui m'inquiète, c'est la façon dont ils vont détourner tout ça et faire pression pour que seules "leurs" solutions soient retenues. :confus:

De toute façon, leurs solutions de "faire de l'élevage" de coccinelles, champignons, enzymes, il faut des usines. Qui dit usines dit énergie.
Alors qu'il est beaucoup plus simple de mettre en place des solutions totalement naturelles et très locales, souvent grâce à des gestions différentes des cultures.
Bref, ils cherchent juste à s'incruster dans ce que je pourrais appeler le "bio intensif" (champs en monocultures) qui sont effectivement plus fragiles que du bio plus diversifié (où des plantes peuvent se protéger des maladies mutuellement par exemple, mais c'est plus compliqué pour avoir un ramassage mécanisé).
 
Retour
Haut