Coming out? Réactions de la famille, des proches

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Fushichô":3lf8ct9g a dit:
[...]
Et donc, de la même qu'on peut pas se dire antisexiste et s'autoriser à taper sa femme 1 fois par an, on peut pas se dire végé et s'autoriser à manger de la viande "une petite dizaine de fois par an". [...]
Et tu repars sur ta comparaison éthique... Si tu compares avec de l'éthique, il faut prendre du végétarisme ETHIQUE.
Alors trouve-moi une autre comparaison valable avec un comportement précis désigné par un nom précis, qui soit aussi radical et absolu sans jamais la moindre exception, et qui n'ait pas ce caractère éthique ( = respect des individus).

Perso, j'en vois pas. Un communiste ou un décroissant, il peut utiliser son argent pour acheter des conneries de temps en temps. Un écologiste, il peut utiliser une voiture de temps en temps. Un geek, il lui arrive aussi de quitter son ordinateur et d'aller se promener. Le gothique, il peut dormir en pyjama rose. Le coureur cycliste, il a le droit de descendre de son vélo. Le philatéliste, il lui arrive de refermer son album de timbres... Non, vraiment, perso, j'ai beau chercher, je vois pas.
A part des règles religieuses...

Attends, y a peut-être le Straight Edge... Le Straigth Edge, s'il boit un verre d'alcool par an, ça brûle ses petites croix sur les mains, ou il est déstraightedgisé ? Y a aussi une police Straight Edge ?

Qu'on soit bien clairs : Se dire végétarien pour les animaux, et puis en tuer un de temps en temps juste pour le goût, c'est absurde. Tout comme on est un meurtrier même en tuant un seul humain.
Mais être végétarien pour l'écologie ou pour la santé, s'il t'arrive de manger de la viande bio une ou deux fois l'an, ça ne change rien. Et si, dans ces conditions, tu refuses d'utiliser le mot "végétarien", les autres, ils vont rien comprendre...

Ou alors tu considères que le végétarisme est de obligatoirement soit éthique, soit religieux, soit spirituel, soit bizarre.
 
Et évidemment que je repars sur ma comparaison, puisque j'explique pourquoi j'en arrive là.

Mais je te parle pas d'éthique ni d'écologie ni de quoi que ce soit d'autre, je te parle de DÉFINITION.
Je me fous des raisons pour lesquelle qq1 est végé, que ça soit pour des raisons éthiques ou non, cette personne ne doit jamais manger de chaire animale, c'est pas difficile à comprendre.
Bah pareil, tu peux pas être antisexiste et taper ta femme, c'est antinomique, c'est tout ce que je dis.
Gothique n'implique pas d'être nécessairement en noir. Geek ne veut pas dire passer nécessairement 24h/24 devant un PC. Être décroissant veut dire consommer moins, pas plus du tout consommer. MAIS être végé implique de ne JAMAIS manger de chaire animale. C'est la définition, point barre.
Je vois pas ce qu'il y a de difficile à comprendre là-dedans.

Si qq1 veut réduire sa conso de viande à 3 bout de cadavre par an par souci écologique, comme je l'ai déjà dit, très bien. Il a qu'à raconter au monde ce qu'il fait, pourquoi il le fait, et quand arrivera la dinde de noel, la seule dérogation annuelle qu'il s'accorde, bah il le fera sans trop de souci car l'impact écologique d'une cuisse de dinde par an par personne est très faible. Très bien. Il sera cohérent, juste il ne sera PAS végétarien.

Comme le dit souvent V3nom, chacun vit sa vie comme il veut, chacun réduit sa conso de produits animaux autant qu'il le souhaite. C'est juste qu'à certaines étapes de cette réduction correspond un terme. A une certaine étape, quand t'as supprimer toute chaire animale, on t'affuble du terme végétarien, quelles que soient tes raisons. Si tu vas jusqu'à supprimer en plus le lait, les oeufs, le miel, paf ! Tu changes d'appellation, te voilà végétalien. Et si tu vires le cuir et autres, re-paf, tu changes d'appellation encore une fois, tu deviens vegan. Et ça, quelles que soient les raisons pour lesquelles t'avances sur ce chemin.
Alors c'est sûr, si la raison est éthique, c'est plus facile de rester à l'étape où t'en es. Par contre, si tu l'es pour l'écologie ou la santé, bah c'est plus facile de perdre l'étiquette.
Mais c'est qu'une étiquette, elle est pas du tout obligatoire, en revanche elle correspond à quelque chose de très précis.

Et c'est surtout en commençant à dire qu'un végé peut manger de la viande de temps en temps que les gens vont rien comprendre. C'est avec des trucs comme ça qu'on finit par avoir des émissions M6 où la personne se dit végé et se cuit du saumon.

(et oui, je suis psychorigide sur la définition du mot ; je qualifie pas le premier péquin venu réduisant sa conso de cadavre de végé; il s'agit pas de la réduire, il s'agit de l'éliminer pour "mériter ce titre").
 
Fushichô":246t627e a dit:
Je me fous des raisons pour lesquelle qq1 est végé, que ça soit pour des raisons éthiques ou non, cette personne ne doit jamais manger de chaire animale, c'est pas difficile à comprendre.
Bah pareil, tu peux pas être antisexiste et taper ta femme, c'est antinomique, c'est tout ce que je dis.
Alors trouve une AUTRE comparaison !

Fushichô":246t627e a dit:
Comme le dit souvent V3nom, chacun vit sa vie comme il veut, chacun réduit sa conso de produits animaux autant qu'il le souhaite. C'est juste qu'à certaines étapes de cette réduction correspond un terme. A une certaine étape, quand t'as supprimer toute chaire animale, on t'affuble du terme végétarien, quelles que soient tes raisons. Si tu vas jusqu'à supprimer en plus le lait, les oeufs, le miel, paf ! Tu changes d'appellation, te voilà végétalien. Et si tu vires le cuir et autres, re-paf, tu changes d'appellation encore une fois, tu deviens vegan. Et ça, quelles que soient les raisons pour lesquelles t'avances sur ce chemin.
Alors c'est sûr, si la raison est éthique, c'est plus facile de rester à l'étape où t'en es. Par contre, si tu l'es pour l'écologie ou la santé, bah c'est plus facile de perdre l'étiquette.
Mais c'est qu'une étiquette, elle est pas du tout obligatoire, en revanche elle correspond à quelque chose de très précis.

Selon ta définition personne n'est végane. Parce qu'on sait tous que le végane absolu n'existe pas. (Enfin, j'espère que tu le sais...) -A part le végane mort.-
D'ailleurs, selon ta définition seuls les végétaliens sont végétariens, parce que des morceaux d'animaux, y en a dans presque tous les produits non végétaliens. (Les E-machins, la présure non écrite sur les ingrédients, la gélatine, etc.) Ça n'est peut-être pas volontaire, mais en tout cas, le simple végétarien, il va lui falloir quelques années avant de se rendre compte qu'il ne l'est pas, végétarien. (Bon, je ne vais pas pousser le vice jusqu'à compter les mouches et les araignées qu'on avale involontairement en dormant...)
Bon, et puis le vrai végétalien, il ne peut rien manger qu'il n'ait pas cuisiné lui-même, parce que sinon il prend le risque que ça ait été cuisiné au beurre (Même si le cuisinier lui assure l'inverse... On ne sait jamais. La prudence oblige à aller vérifier soi-même en cuisine. Sinon, c'est hypocrite.).

Ce petit passage était un passage volontairement provocateur. Juste pour dire que bon... Enfin bon...
 
Comment dire que vous vous prenez bien la tête hein franchement, qu'un bouffeur de poisson se dise végé me hérisse le poil, mais qu'un vegan qui par mégarde mange un donut qui a malencontreusement été à coté de crème ça reste un vegan c'est pas la mili miette de beurre ou de crème qui va changer les convictions de la personne. Être végés c'est avant tout Un putain de choix personnelle, il y a pas de loi, de dictat, il y a un consensus linguistique mais on signe pas avec son sang un pacte avec je ne sais quel dieu ou quel diable...

Kahtia qui commence à en avoir marre du comptage de poils de postérieur de mouche et je suis polie.
 
Mais on est d'accord, c'est l'intention qui prime. Manger par mégarde ou sous la contrainte un bout de viande te fait pas quitter le monde joyeux des vgr.
Mais avoir l'intention ferme d'en manger de temps en temps, oui.
C'est d'ailleurs ce que j'ai dit quant à ce que "faisait" sylph. J'ai bien dit à un moment (flemme de rechercher) qu'il y avait une différence entre en manger par accident et prévoir d'en manger une petite dizaine de fois par an. On s'est bien sûr tous fait avoir au moins un jour en achetant un truc à bouffer pour au moment de le manger, parfois alors que le truc était bien entamé, s'apercevoir qu'il y avait du lait/du bouillon de poulet/un produit à la con.
Bah tu restes qd mm vg. Et c'est d'ailleurs ça que sylph disait, sa "petite dizaine de fois par an", c'était les accidents involontaire. Ce qui a tout changé et c'est pourquoi je me suis excusé auprès d'elle.

Donc OK, je refais ma définition, j'ai oublié un mot qui me semblait évident vu tous ce que j'avais écris auparavant lors de mon échange avec sylph :
un vgr ne mange JAMAIS VOLONTAIREMENT du cadavre.
Et pour le vegan, def de la Vegan Society : Veganism is a way of living that seeks to exclude, as far as possible and practicable, all forms of exploitation of, and cruelty to, animals for food, clothing and any other purpose

C'est clair : un vegan fait tout son possible pour vivre de manière vegan, les accidents le feront rester vegan. Par contre, prévoir une petite dizaine de bouteilles de lait par an, clairement non.

Et je vois pas pourquoi je devrais trouver une autre comparaison, moi je la trouve pertinente. Tu peux pas te dire antisexiste si tu t'octroies le droit de tabasser ta femme 1 fois par an pour célébrer la nouvelle année (volontarisme). Par contre, tu peux te dire antisexiste même si t'as parfois des paroles ou des réactions sexistes, par habitude/conditionnement, parce que se déconstruire, ça prend du temps, c'est très difficile (actions involontaires).
Si elle te plaît pas, trouves-en toi une autre.
 
Pers0nne":27nftqfr a dit:
A toi, et à Fuschi :
Sylph ne se déclare pas végétarienne pour les animaux. Donc vos arguments sont hors sujet.

Mon discours reposait sur le relatif fatalisme "je vais surement remanger de la viande, même si je veux pas". Aucune notion antispé là dedans.

Pour le reste du discours, ce que je vois c'est une définition "non éthique" de Pers0nne qui apparemment ne souffre pas d'exceptions occasionnelles. Mais si elle sont volontaires, pour moi c'est plutôt de l'ordre du flexibidule, tout bêtement.

Et nul besoin "d'éthique" quand il s'agit d'une définition précise.
Le végétarien a une volonté de position abolitionniste quant à la conso de chairs animales. point.
De même pour le féministes, l'antiraciste, etc...

Évidemment qu'il ne sera jamais reproché une erreur, une réaction irréfléchie par habitude, des difficultés de déconstruction, ce genre de chose
Et je dirais qu'il ne devrait pas plus être reproché une possible perte de conviction, une machine arrière dans le positionnement.
Mais prendre une position qui sur le principe a une définition claire, mais s'autoriser (volontairement donc) des exceptions, ça devient plus fragile comme légitimité.

C'est pour ça que je répète souvent (et faute d'être plus clair), que ce sont les choix et les conviction qui nous font entrer dans une case-étiquette (sans le chercher forcément), et surement pas la nomenclature-définition-liste de règles de la-dite étiquette qui devrait dicter la conduite de ceux qui souhaitent "faire parti de...".
 
Bé en ce qui me concerne, V3nom (à propos de ton dernier paragraphe), c'est un peu le contraire...
Pour pouvoir me dire végétarien, j'ai arrêté les petits "fruits de mer", les petits crustacés, quoi. J'adore par exemple les pâtes aux coquillages, et je dois dire que j'éprouve peu de compassion pour les palourdes. C'est donc uniquement par volonté et raisonnement, et en suivant les règles de cette étiquette, que j'ai supprimé ça de mon alimentation.
Après, je précise que la compassion n'est absolument pas mon argument n°1 pour être végé. C'est un raccourci de langage...
Et je voulais pouvoir me dire végétarien, pas parce que ça fait cool, mais parce que cette étiquette véhicule un certain nombre de valeurs, symbolise un combat ou au moins une prise de conscience dont on aimerait qu'elle soit plus partagée.
 
Réponse fusionnée aux deux :
OK. Notion de volonté.

N'empêche, je doute que tous les végés santé ou écolo aient une volonté abolitionniste. (Et même certains végés welfaristes, d'ailleurs...) Le végé santé est vécu plutôt comme un choix personnel, et le végé écolo surtout pour contrebalancer la surconsommation de viande et le système indus actuel.

Fushichô":hq80bnvu a dit:
Si elle te plaît pas, trouves-en toi une autre.
Le problème, c'est justement que je n'en trouve pas d'aussi radicales pour un végétarisme écolo ou santé (à part des convictions d'ordre religieux, ou de la désintox -mais ça n'est plus une affaire de définition d'un comportement, alors-). Et j'ai cherché. Mais en tout cas, la comparaison n'est pas valable, puisque ça n'est pas l'individu (animal) qui prime dans ces 2 optiques. Et pour une comparaison avec un comportement radical non motivé par le respect d'individus, c'est à toi que revient la "charge de la preuve".

J'ai l'impression que vous êtres trop pris par votre vision végane (que je partage) pour réaliser que d'autres n'y sont pas encore entrés.
 
Je vais pas en chercher une autre, pas que je refuse le fardeau de la charge de la preuve, mais je comprends vraiment pas ce que tu veux.
Pour moi la comparaison est valable.
Il s'agit d'actes (tabasser sa femme/manger de la viande volontairement) en opposition avec la définition (antisexisme/végétarisme). Les motivations éthiques ou autres n'interviennent nulle part là-dedans. Aucune vision antispé/vegan dans cette comparaison.
Du coup, je vois vraiment pas pourquoi je devrais chercher une comparaison dans laquelle l'individu/animal prime, puisque c'est pas le but de cette comparaison, et qu'en plus si j'en trouvais une avec l'animal qui prime, tu me renverrais à la gueule que je suis enfermé dans mon antispécisme et ma vision vegan. Tu le fais déjà quand je mèle pas l'éthique à ce que je raconte, alors si je parle animaux, j'ose mm pas imaginer.

J'ai parfaitement conscience que tt le monde n'est pas vegan abo, je suis rentré dans le végétarisme par antiproductivisme teinté d'écologie.
Mais justement, les motivations n'ont rien à voir dans la définition du végétarisme. Le végétarisme, c'est aucune ingestion volontaire de chaire animale. Quelle que soit la raison pour laquelle on le fait. Bah pareil, quelle que soit la raison pour laquelle t'es antifa (même si on est rarement antifa par souci écologique ou de santé ^^), tu vas pas aller voter Lepen une fois ts les 5 ans ou faire une ratonnade pour fêter la pleine lune.
Je le répète, ma comparaison ne se soucie aucunement des motivations du végétarisme/antisexisme, elle se veut juste mettre en lumière le fait que certains comportement sont en totale opposition avec le terme de base et qu'on peut pas porter l'étiquette en question en observant de tels comportements.

Bref, j'arrête là, parce que je vois vraiment pas ce que tu veux et que j'ai l'impression d'avoir dit 42 fois la même chose. Je vois pas comment être plus clair ni comment répondre à tes attentes et tes interrogations que je ne comprends pas.
Et donc si on se comprend tjs pas, on n'y arrivera pas plus au bout de 78098 autres messages.
 
Pers0nne":18bws9cc a dit:
Le végé santé est vécu plutôt comme un choix personnel, et le végé écolo surtout pour contrebalancer la surconsommation de viande et le système indus actuel.

J'ai l'impression que vous êtres trop pris par votre vision végane (que je partage) pour réaliser que d'autres n'y sont pas encore entrés.

Il s'agit de mes raisons donc je me permets de rentrer dans le débat.
Il est important pour l'image des végé, que celui se revendiquant végé le soit totalement et ne fasse pas "d'exceptions" d'autant plus en public !!
C'est à cause de ça que naissent des à priori comme les végétariens mangent du poisson...
 
Bon, j'ai ptet un exemple, si j'ai bien compris où Personne voulait en venir :

Par exemple, le gars qui te dirait : "je ne suis pas un meurtrier, mais bon, 1 ou 2 fois par an, quand j'ai des voisins vraiment bruyants dans mon immeuble, c'est quand même pas le drame si je m'en débarrasse."
C'est différent d'un autre gars qui ne veut vraiment tuer personne mais qui conduit une bagnole ... un jour, il renverse un piéton. Pourtant, il a freiné, il a essayé de l'éviter mais ... trop tard, choc, piéton tué sur le coup.

Dans le premier cas, le personnage dit qu'il n'est pas un meurtrier, il ne tue pas plein de gens toutes les semaines, mais il s'autorise une exception de temps en temps
Dans le second cas, le personnage n'est pas volontairement meurtrier, mais selon son caractère, minimisera l'histoire ("c'était un accident") ou ça le poursuivra toute sa vie ("je suis un meurtrier, je ne veux plus jamais conduire").
Et pourtant, le second tue bien moins que le premier.
 
Tigresse":ddbhtb5a a dit:
Bon, j'ai ptet un exemple, si j'ai bien compris où Personne voulait en venir :

Par exemple, le gars qui te dirait : "je ne suis pas un meurtrier, mais bon, 1 ou 2 fois par an, quand j'ai des voisins vraiment bruyants dans mon immeuble, c'est quand même pas le drame si je m'en débarrasse."
C'est différent d'un autre gars qui ne veut vraiment tuer personne mais qui conduit une bagnole ... un jour, il renverse un piéton. Pourtant, il a freiné, il a essayé de l'éviter mais ... trop tard, choc, piéton tué sur le coup.

Dans le premier cas, le personnage dit qu'il n'est pas un meurtrier, il ne tue pas plein de gens toutes les semaines, mais il s'autorise une exception de temps en temps
Dans le second cas, le personnage n'est pas volontairement meurtrier, mais selon son caractère, minimisera l'histoire ("c'était un accident") ou ça le poursuivra toute sa vie ("je suis un meurtrier, je ne veux plus jamais conduire").
Et pourtant, le second tue bien moins que le premier.

Et si le personnage renverse son voisin vraiment bruyant. Pourtant, il a freiné, il a essayé de l'éviter mais ... trop tard, choc, voisin tué sur le coup.
:p
 
Faut quand même arriver à monter la bagnole à l'étage du dessus pour renverser le voisin par accident, ce qui n'est pas facile, à moins d'avoir un grand ascenseur.
 
Non, ça n'est toujours pas là où je voulais en venir, parce qu'on parle encore de meurtres, d'individus, d'éthique...

Pour comparer, s'il faut vraiment, ça serait plutôt quelqu'un qui se dit "maniaque et précautionneux", qui ne casse jamais rien, qui fait très attention aux objets fragiles, mais qui s'autorise une ou deux fois par an à casser une assiette pour se défouler. Ou quelqu'un qui boycotte le Coca Cola (et l'affirme en public), mais en boit un verre à Noël.
 
Pers0nne":2sum2hfa a dit:
Ou quelqu'un qui boycotte le Coca Cola (et l'affirme en public), mais en boit un verre à Noël.

C'est pire que tuer son voisin ça. Déjà boire du coca... mais en plus à Noël, à côté de toutes les bonnes bouteilles qu'on peut trouver !
 
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