Féminisme et masculinisme

Numa bonjour
L'étape d'après, ça sera « si c'est un véritable viol, le corps féminin a les moyens d'empêcher la pénétration », et comme ça ça sera fini : si le violeur a réussi, c'est que c'était pas un véritable viol.
est considré comme viol un acte sexuel sans consentement mutuel. Ainsi un homme ayant eu mille rapport avec sa femme de façon consentie et qui aura un rapport sous contrainte (morale en tout cas) sera considéré comme un violeur. De même dans les rapports sexuels avec un ou une travailleuse du sexe. Donc le viol est essentiellement considéré sur le plan psychique, plus que physique (sans exclusion d'ailleurs!) puisqu'un simple attouchement suffit.
 
Janic, merci de lire le lien d'Azuka. Ça t'aurait évité de répondre une fois de plus à côté de la plaque.
 
Je pense qu'il en est conscient, il réagissait juste au lien plus haut qui donnait "l'avis" d'un élu américain sur le sujet...
 
Excalibur bonjour
Je pense qu'il en est conscient, il réagissait juste au lien plus haut qui donnait "l'avis" d'un élu américain sur le sujet...
exact! Ainsi il seraitjudicieux de demander leur avis aux sexologues et aux psy concernant ce sujet.
je me rappelle du procès d'un boxeur célèbre qui avait "violé" une mannequin, je crois me rappeller, et au procès celle-ci avait dit, grosso-modo: "S'il me l'avait demandé gentiment, j'aurais dit oui, mais il n'a pas attendu mon consentement" C'est et ça reste un viol, mais à la limite et c'est peut-être (encore) ce que cet élu a pu vouloir dire. quand à dire qu'il ne peut y avoir de grossesse consécutive à un viol, un vrai, c'est pousser le bouchon un peu loin, une fécondation n'est pas liée à des circonstances mais à la présence d'élements fécondants et fécondables. (quoique les mystères de la biologie et du psychisme ne nous soient pas tous connus)
 
Sinon, au menu, il y a aussi la nouvelle constitution tunisienne qui veut proner la complémentarité femme-homm plutôt que l'égalité, ce faisant plaçant les femmes dans un état de subordinnation permanent par rapport aux hommes (comme toujours).

Diverses pétitions, dont une ici

Dans l'ensemble, je suis très très déçue par les printemps arabes en ce qui concerne le droit des femmes. On assiste une fois de plus à la montée au pouvoir de mentalités rétrogrades, accompagnée d'un énorme backlash quant à l'émancipation des femmes. :(
J'espère vraiment que la voix des tunisiennes sera entendue et qu'elles gagneront cette bataille. Est-ce qu'il y a des mobilisations en France quant à ça? (je dois avouée que je suis très déconnectée des média français et de l'actualité sur place)
 
janic":1vny1et6 a dit:
Ainsi un homme ayant eu mille rapport avec sa femme de façon consentie et qui aura un rapport sous contrainte (morale en tout cas) sera considéré comme un violeur. De même dans les rapports sexuels avec un ou une travailleuse du sexe.
En principe oui. En pratique, dans ces situations plus que toutes les autres, il est quasiment impossible à la victime d'obtenir reconnaissance du fait par la justice.

Donc le viol est essentiellement considéré sur le plan psychique, plus que physique (sans exclusion d'ailleurs!) puisqu'un simple attouchement suffit.
Précision quand même : en France, un attouchement c'est une agression sexuelle, par un viol ; c'est puni moins lourdement (c'est un délit, pas un crime).

janic":1vny1et6 a dit:
C'est et ça reste un viol, mais à la limite et c'est peut-être (encore) ce que cet élu a pu vouloir dire. quand à dire qu'il ne peut y avoir de grossesse consécutive à un viol, un vrai, c'est pousser le bouchon un peu loin, une fécondation n'est pas liée à des circonstances mais à la présence d'élements fécondants et fécondables. (quoique les mystères de la biologie et du psychisme ne nous soient pas tous connus)
Ah, je crois que je vois ce que tu veux dire. Le problème, c'est qu'il me paraît assez clair que l'élu en question ne s'intéresse pas du tout aux « mystères de la biologie et du psychisme » juste pour le plaisir de la connaissance.

Le fait de parler de « véritable viol » est un sous-entendu parfaitement clair visant à nier la réalité de la plupart des viols. Bizarrement, on entend pas trop des expressions comme « véritable vol » ou « véritable enlèvement ».
 
On tourne toujours en rond dans cette préservation de domination masculine d'une puérilité absurde...

Tiens sinon Jezebel, qu'as-tu pensé de l'annonce de je ne sais plus quel pays de créer une ville exclusivement féminine ? Si certaine femmes y voient sans doute une superbe opportunité d'enfin s'émanciper d'une société ultra-sexiste, je vois quand même d'un très mauvais oeil ce future ghetto.
On est loin d'un Umoja qui a déjà une légitimité plus "profonde" je trouve... (même si ça reste encore une fois une île entourée de requins)
 
V3nom":1dti4vfq a dit:
On tourne toujours en rond dans cette préservation de domination masculine d'une puérilité absurde...

Tiens sinon Jezebel, qu'as-tu pensé de l'annonce de je ne sais plus quel pays de créer une ville exclusivement féminine ? Si certaine femmes y voient sans doute une superbe opportunité d'enfin s'émanciper d'une société ultra-sexiste, je vois quand même d'un très mauvais oeil ce future ghetto.
On est loin d'un Umoja qui a déjà une légitimité plus "profonde" je trouve... (même si ça reste encore une fois une île entourée de requins)

Va falloir m'en dire plus, je ne suis pas du tout au courant de cette initiative. :)
vite fait, sans rien connaitre, je me méfie de l'effet ghetto, également. Surtout, si ça apporte une solution temporaire aux concernées, ça n'apprend pas à vivre ensemble et ne résout aucun problème. Un peu comme l'enseignement non mixte.
Certaines fac américaines prestigieuses proposent un environnement uniquement réservé aux femmes qui pourront alors y trouver là un espace de parole libre de toute interruption masculine, de tout jugement , de toute conformités aux attentes du patriarcat en matière d"éducation (on se rend enfin compte que l'éducation genrée est un gros problème) et effectivement il y a émancipation. Et ça marche, la plupart des diplomées sont effectivement brillantes (Hillary Clinton est l'une d'elles, il me semble).
Le problème, c'est déjà que ça marche seulement pour un petit nombre d'entres elles. Quid des moins privilégiées? Ensuite, ça pointe effectivement un problème mais la "solution" me l'effet cauter sur jambe de bois. Donc, pour en revenir à l'idée de ville réservée aux femmes, je suis très, très partagée, même si là je manque totalement d'info donc ça reste un avis brut qui demande à être affiné en fonction de la situation.
 
numa bonjour
Le problème, c'est qu'il me paraît assez clair que ...
pour le savoir il faudrait être dans la tête du bonhomme et quand on voit la difficulté que l'on a déja à être dans la notre! :confus:
 
Pour moi c'est encore une fois un remède à une conséquence sans jamais toucher aux causes...
 
Edit : Discussion initiée ici.

Pers0nne":1ptnm6ln a dit:
J'aime bien le pronom "iels" de Frago. Et j'aime bien constater que le milieu antispéciste est étroitement imbriqué avec une pensée antisexiste. Mais je crois que les petites adaptations de langage de ce genre ne pourront jamais être que des rustines temporaires (peu efficaces et parfois contradictoires). On pourrait, soit, ajouter un neutre à la langue française, pour rétablir l'égalité.
Mais la seule mesure vraiment antisexiste au niveau linguistique qui pourrait être faite, serait une remise en cause fondamentale du langage : Faire disparaître masculin et féminin, qui ne devraient donner qu'une information anecdotique (De quels organes génitaux est pourvu cet animal ?) au même titre que n'importe quel adjectif, alors qu'ils sont actuellement ancrés dans la langue comme quelque chose de fondamental (au point que dans les langues latines, les objets ont eux aussi un sexe...); et qu'il est actuellement impossible de parler d'un individu sans avoir la réponse à une question plus ou moins consciente, mais visiblement omniprésente : "Suis-je sexuellement compatible avec cet individu ?". C'est quand même assez grave, je trouve...

Frago est avant tout féministe, c'est surtout pour ça. Et elle n'est pas la seule à prendre soins d'essayer de trouver des pronoms non genrés/genrant. (genre neutre qui fait cruellement défaut das la langue française selon moi, comme tu le suggères)

Sinon pour les iules, ils sont pas si facilement observables que ça justement, et les espèces françaises sont en général très petites (le "miens" faisait pas 4cm)
Je connais ces bêtes depuis très longtemps (j'étais passionné par le monte des insectes petit), et j'en ai vu pour la première fois qu'il y a quelques mois, il escaladait le marchepieds de ma porte de salon de mon nouveau logement. ^^
 
V3nom":2fiyst76 a dit:
Frago est avant tout féministe, c'est surtout pour ça. Et elle n'est pas la seule à prendre soins d'essayer de trouver des pronoms non genrés/genrant. (genre neutre qui fait cruellement défaut das la langue française selon moi, comme tu le suggères)

Oui, je devine bien qu'elle est féministe, mais n'empêche, on retrouve beaucoup de discours féministes dans les textes antispécistes (D'ailleurs, je préfère le terme "anti-sexiste", parce que j'ai au contraire le sentiment que le mot "féministe" dégage quelque chose de tout à fait sexiste -ce qui mène parfois, par un cheminement a priori logique, à des paradoxes contreproductifs pour la défense du droit des femmes-, puisqu'il revient à insister sur l'un des deux sexes et donc combattre la discrimination tout en soulignant les différences "de nature", au lieu de reprendre tout à la base en déclarant que la distinction systématique entre les deux sexes n'est pas pertinente. Heureusement qu'on n'appelle pas les antiracistes des "Noiristes" ou des "Etrangistes"...). Et notamment ces histoires d'accords non-genrés. D'ailleurs, j'aimerais bien qu'il y ait quelque chose d'un peu centralisé, qu'un collectif féministe s'attache à définir des standards qui satisferaient tout le monde, une espèce d'esperanto/français antisexiste "officiel", parce que c'est un peu bizarre de voir les pronoms et conventions d'écritures des accords changer à chaque nouveau texte que je lis... (A moins que ça n'existe déjà ?)
 
Oui bon alors
1/ ce genre de débat n'a rien à faire ici


Mais soit: discutons en ici, avant qu'un modo fasse gentiment le ménage (couper, puis créer un nouveau sujet, ou l'insérer dans une discussion dans ce goût là).


2/Je n'ai aucun problème avec le mot féminisme. Je le trouve super cool, il fait le lien avec tous les combats passé, présent et à venir dans ce domaine (et se sentir la fille spirituelle des Olympe de Gouge, la nièce des Georges Sand, la cousine des Hubertine Hauclert, la sœur Virginia Woolf, ou la petite-fille des Simone de Beauvoir sans oublier toutes les autres et le peu de gars dans la cause y a de quoi être fier-e de la famille ^^).

3/ Je ne comprends pas l'intérêt de créer un autre terme pour quelque chose qui existe déjà. Être féministe c'est revendiquer l'égalité dans TOUS les domaines de la vie en fait, dans la société. Juste ça.
Je t'apprendrais rien, je l'espère, si je dis que nous vivons dans une société patriarcale qui discrimine toutes les femmes, quelle que soit leurs origines géo-socio-économico-culturel-bidule-chouette. Alors oui vas y tu peux sortir le couplet "oui mais les hommes souffrent de cette situation etc" pas faux, mais en attendant il y a bien des avantages que même ceux qui souffrent de leur rôles assignés, ou sont sensible à la cause ont. Entre autre la liberté d'être tranquille dans la rue, le fait d'être cru plus facilement qu'une femme, d'avoir accès aux meilleurs postes, d'être mieux payés, de pas avoir toute ton enfance subit des contraintes type "apprends le ménage, la cuisine, la vaisselle, l'art ménager ma fille c'est pour ton bien" au lieu de s'éclater à faire des jeux plus stimulants ou simplement au lieu d'aller à l'école...

Je suis pas là pour supprimer les avantages, j'ai juste envie que tout le monde ai ces avantages (sauf pour le dernier point mentionné, je trouve ça normal qu'on nous apprenne à cuisiner, faire le ménage et co, c'est rudement utile au final)!

3 bis/ ton cheminement n'est pas logique. Enfin je ne le trouve pas. Comment dire si le nom de ce mouvement c'est appelé féministe, réfléchissons bien à la période époque contexte, ce qu'on appelé la première vague (l'époque des suffragettes) ou la seconde (les années 60-70), bon déjà d'une pratiquement que des femmes pour militer et dans quel monde vivaient-elles? Ne réponds pas trop vite et réfléchie.
Quel étaient leurs revendications, pourquoi, qu'on t-elles dénoncée, fait, etc...
Franchement ça devrait venir vite, le pourquoi du nom.
Si ça viens pas bah prends la répartition des richesses comme un bon gâteau au chocolat-amande (vegan si tu veux), une petite part pour les femmes, une très grosse pour les hommes. Alors que c'est les femmes qui ont fait la plus grosse part du boulot pour le faire ce gâteau...
Comment veux tu que la priorité à l'époque quand on défendait l'égalité de droit et de fait, se soit de défendre les gars qui souffrent de la situation, des normes qu'ont leurs imposent et co dans ce cas?
Non mais sérieusement????
Elles ont fait ce qu'elles ont pu, elles furent vivement critiquées (tiens même par les canards de "gauches" type l'assiette au beurre), se sont pris plein la tronche, sont parties de super loin pour qu'on soit là où l'on est aujourd'hui (c'est à dire de franchement moche à maussade, j'espère vivre le changement maussade à ciel bleu et soleil). Aucune expérience politique et syndicale ou presque, presque rien niveau analyse et recherche en leurs faveurs, toute la bonne société contre elles. Alors bon les povs gars, je comprends que cela n'a pas été leurs fer de lances.

Je peux paraître, âpre, choquante où je ne sais quoi, mais si on est un temps soit peu un peu logique ça va et on passe au point suivant.

3 ter/ Ensuite je suis affirmative sur le fait que quand les femmes avancent et bah les mecs non seulement ne reculent pas, mais avancent aussi. À chaque fois qu'on tabasse le patriarcat (oui je suis à fond pour la violence surtout si elle est justifiée), c'est aussi bénéfique au gars. Dans les relations hommes-femmes par exemple (ce que ça peux faire du bien de ne pas flipper quand on a des relations amicales avec des personnes de l'autre sexe biologique, en se disant "oui mais nan, à tous les coups il/elle m'aime, mais moi je fais comment hein?"), dans l'éducation parfois, pour pouvoir être soit même sans se faire mépriser à cause des convenances, pour les avancées sociales (matte toutes les révolutions et grands mouvements, y a TOUJOURS des femmes qui luttent, ça corresponds aussi à des moments où les droits des femmes avancent, et les droits des gens et ben avancent vaillamment aussi), et tant d'autres choses salutaires à tous-tes.

4/Je trouve ça chouette la diversité des conventions d'écritures (je ne dis pas ça parce que je suis une quiche en orthographe), il me semble que certains collectifs se sont mis là dessus, (la flemme de chercher).
En attendant voir des enragéEs, engagé es, compréhensif/ves, indigné(é)s et autres convaincu-es ben j'aime bien ;).
Chacune à sa signification, mine de rien, prends celle qui te conviens le mieux selon tes convictions.
Le premier: les femmes existent et le revendiquent ne les oubliez pas!!
Le second: on existe chacun dans son coin.
le troisième: malgré les clivages on se comprends
le quatrième: oui bon les femmes existent, mais entre parenthèses, pas en vrai tout de même!
le dernier: n'oublions pas, l'essentiel c'est de créer des liens et de se comprendre!
 
+ 1 à Frago! J'ajouterais, Pers0nne que ta vision du féminisme repose sur l'essentialisme, ot la majorité du mouvement est universaliste, donc je ne sais pas trop où tu es allée cherché cette histoire "d'accentuer les différences" puisque c'est tout le contraire qui est recherché.

En ce qui concerne le language, je voudrais rappeler que ce dernier n'est pas intrinsèquement sexiste, c'est l'utilisation qui en estfait qu'il l'est. Il y a des choses que l'on peut effectivement rectifier (notamment en ce qui concerne la grammaire et certaines règles prescriptives qui sont des "excroissances" arbitraires bien souvent) et d'autres non (ce qui est au niveau de la structure même).
Cette idée de changement rejoint un peu l'idée d'utiliser anti-sexisme pour féminisme alors que le mot adéquat existe déjà: pourquoi vouloir remanier en profondeur un outil alors que celui-ci convient déjà?

Mais comme l'a fait remarquer frago on est pas du tout au bon endroit pour discuter de tout ça.
 
Effectivement, c'est pas du tout le bon endroit pour ça. Parce que les femmes, ce sont pas des NAC, ça fait très longtemps que ce sont des animaux de compagnie.

Rapidement, pour rebondir sur frago, enfin sur ces propos avec lesquels je suis, et ça me fait mal de dire ça, d'accord, j'ajouterais que le "indigné(e)", donc avec la femme entre parenthèse, c'est aussi la façon standard "légale" d'écrire. Ce qui n'enlève rien à la signification de la femme entre parenthèse, mais on a la même convention pour, par exemple "la ou les personnes part(ent)" ou ce genre de chose. Perso, je préfère utilisé "convaincu-e-s", je trouve les autres moins lisibles.
Et comme je l'avais dit ailleurs, même si j'ai rien contre le terme de féminisme, je préfère souvent, selon de quoi que j'cause, le terme antisexisme, parce que ça regroupe des mécanismes qui affectent aussi les homosexuel-le-s (et dans une moindre mesure les hommes hétéro). Et si chaque lutte a ses spécificités, c'est pour ça que je me vois pas faire disparaître les termes de féminisme et d'homophobie, la lutte contre l'homophobie et le féminisme ont pas mal de mécanismes communs, alors j'aime bien regrouper sous le terme antisexisme.
En fait, c'est un peu comme quand j'écris "les végé", je veux pas pour autant faire disparaître les vegan, mais je généralise un truc qui s'applique aux vgr et aux vegans.
 
Et surtout ne soit pas étonné de retrouver régulièrement des notions d'anti-sexisme (ou de féminisme) dans les discours anti-spécistes, puisqu'il s'agit de dénoncer exactement les même mécanismes ségrégationnistes et discriminatoires pour ces deux luttes qui n'en sont, au fond, pour moi, qu'une seule et même aux ramifications multiples, au même titre que le racisme. (mais je pense que tu sais déjà tout ça Pers0nne)
 
(Excusez-moi, je suis un troll dans l'âme. Mais un gentil troll sérieux qui dévie parce que ça l'intéresse, pas pour pourrir la discussion. Un peu comme dans la vraie vie, vous voyez, quand on peut rebondir sur une discussion et la faire évoluer vers autre chose sans pour autant prévenir : "Bon, les amis, ça m'inspire un nouveau sujet de conversation, alors je vais dans le petit salon pour continuer sur ce sujet, et ceux que ça intéresse peuvent me suivre."
Mais je comprends que ça puisse perturber. De mon temps, avant l'avènement de phpBB, on avait des forums avec un système d’arborescence, et donc ça pouvait dévier en restant logique et lisible, et les trolls n'existaient pas. Pardon.
Et du coup, je ne sais pas si je dois répondre ici pour développer ma pensée. A moins de parler de la lutte pour les droits des serpents, tarentules et varans femelles et rester dans le thème des NAC.

Note -avant développement- : Je n'ai pas dit que j'étais anti-féministe. Pas du tout. Je dis juste que je crois que le terme "féministe" cache une faute de logique qui est désormais contre-productive pour la réflexion féministe justement.)
 
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