Dans les faits, à part les intolérants (lait ou soja, c'est pareil), il n'est certainement pas nocif pour la santé de consommer l'un ou l'autre en quantités raisonnables.
Je pense qu'on a changé d'alimentation dans les années 50. La guerre avait été très dure et l'agriculture ne produisait pas assez. Les pénuries de la guerre ont fait que beaucoup de gamins étaient très carencés en protéines et autres. Après la guerre, ce ne fut guère mieux avant la fin des années 50, avec la PAC et autres. Les parents ont foncé sur le lait pour donner des protéines à moindre coût à leurs gamins et à eux-mêmes. Ensuite, l'industrie agroalimentaire a créé de nouveaux produits et de nouveaux besoins... Notre consommation de lait est devenue énorme: quiches, yaourts, desserts lactés divers, pâtes à tartiner, beurre sur les tartines, gratins, fromages... et cela à tous les repas.
J'ai réfléchi à ça quand on m'a dit que j'étais en fait intolérante au lait de vache et qu'il fallait que j'arrête. C'est fou le nombre de plats que je devais adapter, des produits que je devais supprimer, sans parler des yaourts que je consommais beaucoup. 1 pac de 16 par semaine et du fromage.
Le lait était probablement "bon" pour des gens sousnutris et dénutris et encore, à doses raisonnables. Mais ce n'est pas notre cas et ce ne sont plus des doses raisonnables. Et je pense que faire le "transfert" vers le lait de soja (pour des raisons de santé, écolo ou autres)n'est pas un choix judicieux car le soja n'est pas une plante anodine, il a des effets sur notre corps, au même titre qu'une carotte, certes, mais je n'entends personne parler des méfaits de la carotte (sauf le cri qui nous casse régulièrement les oreilles) car personne n'en abuse. Je ne crois pas qu'on puisse ingurgiter: 2 yaourts + de la crème dans les plats + du lait pour les céréales ou certaines préparations culinaires + des steaks de soja / jour et qu'on dise que c'est totalement sain. En fait, il ne faut pas reproduire avec le soja, les erreurs commises avec le lait. Il faut donc revoir notre alimentation et nos goûts. Or, les industriels ont habitués les gens au sucré, au doux,... et même ceux qui cuisinent sont influencés par ça.
Bises
Je pense qu'on a changé d'alimentation dans les années 50. La guerre avait été très dure et l'agriculture ne produisait pas assez. Les pénuries de la guerre ont fait que beaucoup de gamins étaient très carencés en protéines et autres. Après la guerre, ce ne fut guère mieux avant la fin des années 50, avec la PAC et autres. Les parents ont foncé sur le lait pour donner des protéines à moindre coût à leurs gamins et à eux-mêmes. Ensuite, l'industrie agroalimentaire a créé de nouveaux produits et de nouveaux besoins... Notre consommation de lait est devenue énorme: quiches, yaourts, desserts lactés divers, pâtes à tartiner, beurre sur les tartines, gratins, fromages... et cela à tous les repas.
J'ai réfléchi à ça quand on m'a dit que j'étais en fait intolérante au lait de vache et qu'il fallait que j'arrête. C'est fou le nombre de plats que je devais adapter, des produits que je devais supprimer, sans parler des yaourts que je consommais beaucoup. 1 pac de 16 par semaine et du fromage.
Le lait était probablement "bon" pour des gens sousnutris et dénutris et encore, à doses raisonnables. Mais ce n'est pas notre cas et ce ne sont plus des doses raisonnables. Et je pense que faire le "transfert" vers le lait de soja (pour des raisons de santé, écolo ou autres)n'est pas un choix judicieux car le soja n'est pas une plante anodine, il a des effets sur notre corps, au même titre qu'une carotte, certes, mais je n'entends personne parler des méfaits de la carotte (sauf le cri qui nous casse régulièrement les oreilles) car personne n'en abuse. Je ne crois pas qu'on puisse ingurgiter: 2 yaourts + de la crème dans les plats + du lait pour les céréales ou certaines préparations culinaires + des steaks de soja / jour et qu'on dise que c'est totalement sain. En fait, il ne faut pas reproduire avec le soja, les erreurs commises avec le lait. Il faut donc revoir notre alimentation et nos goûts. Or, les industriels ont habitués les gens au sucré, au doux,... et même ceux qui cuisinent sont influencés par ça.
Bises