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V3nom":25j97vwo a dit:Pour moi les seuls animaux domestiques qui peuvent prétendre à un semblant de liberté sont les chats ayant loisir d'entrer ou sortir à leur guise.
Les chiens sont résolument dépendants de nous techniquement et psychologiquement (l'eugénisme a bien fait son boulot de sape), les chats y viennent.
La totalité des autres animaux dits de compagnies sont farouchement cloitrés, à part pour quelques rares personnes possédant un grand terrain suffisant pour que des animaux de basse cour et des lapins restent sur place. (il reste toujours le désir qu'ils ne partent pas)
Picatau a écrit
je pense aussi qu'on ne fait pas systématiquement le mal en intervenant à bon escient sur la nature qui est quand même vachement cruelle (loi du plus fort ou du plus adapté, du plus rapide, pas de place pour les "défectueux")
Les animaux de compagnie sont-ils réellement "contre-nature"
Et depuis cette date, je rêve de l'anéantissement de cette firme
Lisa, chatte de 11 ans n'a jamais connu la liberté et ne sait même pas quel plaisir c'est de sortir. (en vivant dans un appartement au 4ème étage dans un quartier très roulant, ce serait compliqué de faire autrement). Pourtant, je suis assez sûre qu'elle a envie de sortir. Elle a essayé un paquet de fois de sortir quand je ne fermais pas bien la porte de mon appartement. Dès qu'une fenêtre est ouverte, elle s'y dirige pour prendre l'air, sentir, etc. Bref, je pense qu'on peut ne pas connaitre qqch et sentir intimement que cela nous manque.Nem0":2pg9ucht a dit:Je ne parle pas du fait de domestiquer des animaux sauvages, je parles de la condition des animaux déjà domestiques qui puisqu'ils y sont habitués et ne connaissent pas autre chose, ne peuvent pas regretter une vie sauvage / se sentir privés de libertés.
Un animal peut aussi être apathique car malheureux. Ou avoir des comportements stéréotypés comme on peut en voir dans les zoos ou les cirquesNem0":2pg9ucht a dit:Je pense qu'un animal malheureux de sa situation a de même la possibilité de l'exprimer par l'agressivité ou la fuite, ou d'autres manifestations encore, mais qu'à partir du moment où aucune de ces manifestations n'existe, il est satisfait de sa situation et c'est cela - le bonheur de l'animal - qui m'importe le plus, pas de savoir s'il vit dans la nature ou pas.
Concrètement, je ne vois aucun cas où il s'agit réellement d'une proposition de l'humain et où l'animal accepte. Honnêtement, en quoi l'animal a-t-il le droit de dire "non"? Tu dis que dans 99% des cas, ce n'est pas ainsi. Pour moi, ce n'est jamais le cas.Nem0":2pg9ucht a dit:l'homme ne s'impose pas à l'animal, pour son bien ou non, il est dans un état de proposition/acceptation.
Légende urbaine. Ma petite soeur avait un lapin nain. Elle n'aurait jamais imaginé manger Chloé (le lapin). Moi non plus d'ailleurs. mais cela n'a jamais empêché ma mère de cuisiner du lapin et nous d'en manger de bon coeur.Nem0":2pg9ucht a dit:Il est connu que les gens qui font de l'équitation ne veulent pas manger de cheval, que les enfants ayant un lapin ne veulent pas en avoir dans leur assiette, etc...
Il est possible d'observer les oiseaux et bien d'autres animaux qui ne sont pas domestiqués. La seule relation possible avec l'animal n'est pas la domestication.Nem0":2pg9ucht a dit:je n'ai pas l'intention de cesser toute relation avec les animaux parce que la domestication soulève des incertitudes étiques
je n'ai pas lu le livre, mais ??? J'ai de sérieux doutes.la bouture comme une modification génétique.
Sauf si on l'a conditionné à l' "impuissance apprise"...Nem0":1lgf83km a dit:Je pense qu'un animal malheureux de sa situation a de même la possibilité de l'exprimer par l'agressivité ou la fuite, ou d'autres manifestations encore...
Nem0":3d5ha0ly a dit:c'est un des livres que j'ai lu ensuite qui a mentionnée la bouture comme une modification génétique.