Interessant, en même temps je peux te dire qu'une machine peut avoir des pannes ou des problèmes techniques, non pas que je dise que la conscience que nous avons du monde est une "probléme" au contraire, sans cet conscience du monde qui nous entoure, sans nos sens(qui nous permettent d'apréhender le monde), sans notre mémoire (qui nous permet de nous rapeller de situation similaire et donc comment agir(une fois que ta compris que mettre sa main sur une plaque chauffante c'est dangereux, tu vas plus t'amuser à le refaire)), sans tous ca (et j'ai du en oublier, je suis qu'une modeste petite 1erS, qui n'a presque aucune notion de philo) on ne pourrais pas vivre.
La difference entre manger une carotte ou un lapin? C'est ma sensibilité et ma raison qui en font toute la difference, si je n'était qu'une machine ca me ferais rien, or je suis humaine et manger un lapin m'est impossible pacque je ne mangerait pas quelque chose ou quelqu'un qui a pu vivre, respirer, bouger, aimer, sauter(je parle des bonds de lapins avant qu'on m'accuse de perversion
),... de la même maniére que j'aurais pu le faire (surtout que c'est mignon un lapin).). Alors qu'avec une carotte... j'en ai tuer, dissequer beaucoup dans ma vie (sadique comme je suis, j'aime entendre leur cris, quand je les rapes finement, elle me supplie et moi niark niark je les mange vivantes ... ok j'arrete de délirer)bon et à chaque fois j'ai trouver une matiére orange, pas de cerveau pas de nerf, encore moins de colonne vertebrale, pas d'organes, pas de sang... rien qui me rappelle quelque chose qui aurait pu vivre comme moi. Ensuite j'avoue bien ignorer si une carotte à une conscience ou si elle souffre, mais si c'est le cas je n'ai pas l'impression qu'elles fassent quelque chose pour se debattre, quand on les coupent en rondelles(= pas de conscience?).
Ensuite Barbux je me fesait la reflexion sur cet remarque d'un non-vg qui pense être au sommet de la chaine alimentaire(alors que cela n'est pas le cas), donc j'ai repris le mode de pensée non vgienne; qui n'est pas forcement celui que je défend, ou celui des autres vgs.