En fait les scientifiques plus ou moins proche de notions écologiques, éthologiques, biologiques, botanistes, etc... ne tranchement pas eux même quant à la définition d'une nature intégrant ou non l'humain tel qu'il vit aujourd'hui.
Il y a ceux qui considère que tout ce qui est issue de la nature "est naturel" (y comprit les centrales nucléaires, l'apprentissage de l"eugénisme ou le génie génétique, les produits chimiques, etc...
Et ceux pour qui l'humain est clairement à retirer de toute notion écologique.
Et le plus compliqué : les deux notions sont de valeur et de légitimité équivalentes.
A chacun de trouver la position qui lui convient le mieux. (on peut même faire une soupe mixte)
Personnellement, je crois que tant que l'homme vit ou impacte son environnement, il est à prendre en compte dans toute idée écologique quelle qu'elle soit. On fait partie de cette planète aux bordures finies quoi qu'il arrive. (pour le moment)
D'un autre coté je suis de plus en plus contre à peu près toutes les formes de contrôles (je suis pas un exemple mais j'me soigne).
exemple : je déteste l'idée de taille des arbres, arbustes, haies, voire pelouses. Certes le faire quand c'est nécessaire pour éviter des problèmes voire des dangers, mais quand il ne s'agit que d'esthétique ça me semble d'une absurdité sans fin. (et j'y intègre les tailles "obligatoires" pour les essences aussi peu "naturelles" que nos animaux domestiques ou d'élevages, puisqu'on a créé des mutants qui sont devenus dépendants de la main humaine pour subsister, pousser correctement, se reproduire, voire simplement survivre...)
En gros (pour moi hein, avis 2000% subjectif): l'humain déconne grave et devrait rectifier un paquet de tirs avant de retrouver une légitimité quant à la place qu'il a certes toujours eu, mais qu'il ne mérites plus selon bien des aspects de son existence destructrice pour des raisons infiniment synthétiques et sans valeur... (le pouvoir, l'argent, certains "plaisirs" acquis / appris, etc)
La Terre ne nous appartient pas, c'est nous qui appartenons à la Terre.
Et nous ne l'avons pas héritée de nos parents, nous l'empruntons à nos enfants.