le pseudo vegetarsime d hitler...

  • Auteur de la discussion Anonymous
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"Tartuffe" ne parle évidemment pas des végétariens. D'ailleurs à l'époque le végétarisme était certainement beaucoup plus développé qu'aujourd'hui, pour d'autres raisons. Le sujet central de "Tartuffes", c'est la dévotion, ainsi que les dévots (car il ne peut y avoir de dévotion sans dévots).
 
En fait le sujet central de Tartuffe serait plutôt l'imposture, l'hypocrisie. Et Molière met en scène un faux dévot pour dénoncer cela. Mais bref, pourrais-tu être un peu plus clair sur le rapport entre Tartuffe et le végétarisme ?
 
Serait-il juste de voir en Hitler l'incarnation despotique du dévot tel que figure l'image du personnage Tartuffe qui apparait durant l'acte III?
 
Je signale le changement de sujet acrobatique que nous avons effectué entre Hitler et Tartuffe en moins de 20 posts.

Nous sommes peut être le seul forum a pouvoir se targuer d'une telle chose.

En fait je me demande purement et simplement comment on en est arrivés là.

Comme je ne veux pas que vous soyez en train de lire ceci pour rien j'ajoute qu'Hitler avait interdit les repas végétariens dans les casernes.
 
Oui, l'imposture, c'est bien ça.
Quant à associer Tartuffe aux grands dictateurs historiques, ça ne me paraît l'essentiel, à première vue. Tartuffe est plutôt à associer à la question de la dictature "douce" dans les démocraties contemporaines.
 
En fait, tu parles d'abord d'Hitler, ensuite de Tartuffe qui est associé à la question de la dictature douce et enfin tu crées une corrélation entre Tartuffe et le végétarisme ? Alors quoi, le végétarisme serait une dictature douce dans les démocraties contemporaines ?
Il faudrait que tu t'expliques plus clairement, je ne suis sûrement pas la seule à avoir du mal à suivre ton raisonnement.
 
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Je crois plutôt qu'on a affaire à l'habituel petit malin qui voulait nous piéger mais qui ne veut finalement pas perdre la face et commence à parler de choses qu'il ne maitrise pas.

Je suis désolée mais en lisant tes posts vaporeux c'est ce qui me vient à l'esprit.
Sois plus clair si tu veux vraiment ouvrir une discussion sérieuse.

Sinon on peut conclure sur un "fgsfds".
 
shadowcat76 ! j'allais justement poster une image sur le sujet ! Voleur !!!!!
 
Purée le point de Godwin dès le premier message, c'est fort !

Entre le pseudo, les messages, et la tentative de détournement (les végétariens ne sont pas tous des gens sans culture, et Tartuffe, nombreux l'ont lu au lycée) pour essayer de montrer, heu je ne sais pas quoi. Provocation...
 
Le "Troll Spray" est effectivement une solutions si on veut éviter certains questionnements.

Quand au sujet de la tartufferie qui ne serait pas maîtrisé, je suis près à dialoguer avec tout prof de Français ou autre connaisseur sérieux de "Tartuffe", oeuvre culte et d'une terrible actualité, que j'étudie depuis deux ans (le bouquin n'a pas quitté ma poche).

Quant aux réponses "évasives", elles ne le sont pas tant que ça, puisqu'elles ont permis à IndieVeggie, notamment, qui a parfaitement suivi le raisonnement, de trouver toute seule une des conclusions importante.
 
IndieVeggie":1tt513qf a dit:
Alors quoi, le végétarisme serait une dictature douce dans les démocraties contemporaines ?
Il faudrait que tu t'expliques plus clairement, je ne suis sûrement pas la seule à avoir du mal à suivre ton raisonnement.
C'est donc cela?

Je ne suis pas la seule à te trouver obscur, tu lâches des références dans la nature, on préférerait avoir ton propre raisonnement. C'est tellement facile de faire dire ce que l'on veut aux auteurs.

Relis toute la conversation, tu vois bien qu'il y a quelque chose qui cloche, pas de lien, c'est décousu et tu nous réponds à peine.
 
Si on poursuit ton raisonnement, toute conclusion logique à un raisonnement construit (on a parlé ici de végétarisme, mais on pourrait parler d'écologie, de cigarette, etc.) est à associer à une dictature douce.

La définition d'une dictature est « un régime politique dans lequel une personne ou un groupe de personnes exercent tous les pouvoirs de façon absolue, sans qu'aucune loi ou institution ne les limite. »
Or, je pense que quand un raisonnement est logique, construit, étayé et partagé par un grand nombre de gens (scientifiques, citoyens, etc.), alors il ne s'agit pas de dictature.
Si on en revient à au message que tu souhaites passer ici sans l'assumer (car tu choisis des moyens détournés pour le présenter), tu prétends que le végétarisme est assimilable à une dictature.

Vraiment étrange. La plupart des gens qui s'expriment sur le végétarisme, ici ou là, expliquent pourquoi de leur point de vue, le choix du végétarisme est meilleur (plus sain, plus durable, plus écologique, plus respectueux de la vie, etc.). Je n'ai jamais lu nulle part de messages poussant les gens à faire ce choix sans réflexion. On est donc très loin de la dictature, et il appartient à chacun de faire la démarche dans ce sens s'il le juge pertinent.
D'ailleurs, on peut remarquer que de grands loobies très efficaces militent activement pour la consommation de la viande. Et là, il est quasiment impossible de dénoncer publiquement cette "propagande" sans se faire reprocher de ne pas respecter les différences, ou sans se faire reprocher de ne pas respecter le travail d'exploitants agricoles.
Dès lors qu'il existe publiquement plusieurs sons de cloche, on ne peut pas dire que l'un d'eux est une dictature douce. Encore moins quand cette position est communiquée en s'appuyant sur des raisonnements qu'on laisse la liberté au lecteur de s'approprier (ou non).
 
Le sujet le plus important dans "Tartuffe" ne me paraît pas être l'imposture, mais bien la dévotion. Tartuffe est un faux-dévot, c'est bien connu, et cette fausse dévotion est simplement le moyen de son imposture. Ce qui est bien plus intéressant, c'est de se concentrer sur cette dévotion. Et c'est là que le personnage d'Orgon devient peut-être finalement le personnage le plus important de la pièce. Orgon est durant toute la pièce une sorte de fanatique aveugle, et carrément imbécile. Reprocher à un pauvre (ce qu'est Tartuffe, au départ) d'utiliser le potentiel de dévotion niaise des autres, est-ce l'essentiel? Peut-être. Mais ce n'est pas ce qui m'intéresse le plus, personnellement. Ce qui m'intéresse c'est l'espèce de "plasticité mentale" du grand public, prompt à bondir sur toute nouvelle idéologie. Les Orgon actuels sont là, autour de nous, avec la tyrannie de la platitude mortifère de leurs idées (platitude insupportable pour qui aime la vie).
Il faut avoir le courage de lire Philippe Muray (classé parmi les "néo-réacs" par les bien-pensants style "centre gauche").
Un autre livre incontournable, c'est "La dictature de la petite bourgeoisie", de Renaud Camus. On n'ose plus utiliser ce mot "petit bourgeois". Ce n'est pour autant que cette espèce a disparue. Roland Barthes dans les "Mythologies", explique de façon très croustillante comment (et surtout pour quelles raisons inavouées) le petit-bourgeois des années 50 mange son bifteak-frites. Le petit bourgeois actuel (descendant en lignée directe de celui des années 50), mange son steak de soja et sert des branches de céleri et des petits morceaux de choux-fleur crus lors d'apéritifs dinatoires au vin rouge, selon le même schéma : la même dévotion.
 
Visiblement tu n'as donc pas réfléchit à ce que j'ai écrit. Note qu'il ne faut pas boire les textes qui te passent entre les mains, mais essayer de raisonner par tes propres moyens.

J'imagine que ta réaction et ton analyse caricaturale du monde reflète l'incompréhension des choses qui t'entoure. Ce n'est pas grave, prend le temps de lire et de réfléchir, tu pourras ensuite revenir discuter ici quand tu auras compris ce qui peut motiver le choix du végétarisme. Ne soit pas surpris de constater que la diversité de classe sociale, de culture, de motivation et de lieux géographiques des végétariens (présents par exemple sur ce forum) vient contredire l'analyse que tu présentes. Peut-être cela t'aidera-t-il à réfléchir.
 
moué moué, en gros nous serions des bobos ....

J'en parlerais à mon cheval (de bataille).

(ceci est un troll poilu !)
 
Les bobos c'est seulement pour le "dessus du panier". Pour le gros des troupes, on est dans le "petit-bourgeois" à l'ancienne (seule la forme change, la structure reste).
 
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