Re : Manger les animaux sera bientôt une obligation légale en France

Twizzle":1wtddn98 a dit:
L'article est maintenant sur le site des Cahiers antispécistes:

http://www.cahiers-antispecistes.org/sp ... article410

C'est bien cette idée d'écrire à la direction de l'AVF, ils devraient comprendre que les végés ça existe, et pas seulement comme potentiels troupes pour faire nombre et pour récolter des cotisations.

David
Tu ne penses pas que l'union faisant la force, outre leur faire par de remarques par mail, il faut aussi les suivre notamment en signant leurs pétitions ? Ils ont plus de poids au niveau national que des mails individuels.

Merci pour le lien (une autre personne lelfe je pense) me l'a donné aussi. Très intéressant.
 
ah la vache à hublot, je viens de voir les images sur Google ... Mais quelle horreur !! Pourquoi ils font ca ?!?!
 
Bonsoir,
Merci Flavien pour ce lien. Tout ce qui est montré, dit est consternant. VG depuis novembre dernier je me rend compte qu'avant je ne pensais pas à l'animal derrière la viande ni de tout ce qui est dit dans ce doc. Ce qui m'importait c'était de me rendre dans une "bonne boucherie "et après en bio et surtout pas en grande surface. Peut-être qu'en montrant ce genre de doc autour de moi cela pourrait faire réfléchir certaines personnes.
 
A de rares exceptions près, la viande des boucheries et des grandes surfaces c'est la même.

Tout le monde se fait avoir. Marcela Iacub (qui a écrit Confessions d'une mangeuse de viande) c'est faite avoir pendant des années à croire que la viande de boucherie provenait d'animaux mieux traités que ceux qui finissent en barquette au supermarché.
 
kmille bonjour
ah la vache à hublot, je viens de voir les images sur Google ... Mais quelle horreur !! Pourquoi ils font ca ?!?!
Ca porte le doux nom de curiosité scientifique! :whistle:
 
Je viens de découvrir qu'une nouvelle moûture de la «recommandation relative à la nutrition» du GEMRCN est parue, datée du 15 juin 2011 (mais annoncée dans le numéro de juillet de la «Lettre de l'OEAP»).

Je n'ai pour le moment que jeté un coup d'oeil (document de 80 pages), mais tout indique que:

- le nouveau document est appelé à servir de base définitive pour les décrets d'application de la loi dont je parlais ci-dessus (le document fait référence à cette loi d'une manière qui le laisse clairement entendre);

- la recommandation interdit le végétarisme, comme dans l'ancienne version.

Page 8, on trouve:

Enfin, cette recommandation ne porte que sur les repas pris en collectivité, le déjeuner essentiellement pour la plus grande partie des populations ici concernées. L’effort que les collectivités pourront accomplir en l’appliquant, doit être relayé par les particuliers pour les repas pris au domicile, car l’équilibre nutritionnel dépend des apports de l’ensemble de la journée alimentaire.
C'est en gras dans l'original, et ça indique bien la portée de l'affaire: ce n'est pas «que» une question de cantines scolaires (affaire déjà considérable en elle-même), mais c'est l'ensemble de l'alimentation qui est concernée.

David
 
L’effort que les collectivités pourront accomplir en l’appliquant, doit être relayé par les particuliers pour les repas pris au domicile, car l’équilibre nutritionnel dépend des apports de l’ensemble de la journée alimentaire.
Ah mais alors j'imagine que les collectivités vont faire des efforts pour supprimer les fast-food, puisque consommer leurs mauvais produits pourrait enrayer notre équilibre nutritionnel de la journée, oh la la ?
Ou est-ce que ça compte comme repas pris par les particuliers à l'extérieur du domicile et n'est donc pas concerné par ces mesures ?
Vive le resto végé !
 
Déprimant...

La France à déjà 25* ans de retard sur le sujet, avec cette recommandation, elle progresse, elle aura au moins 35 ans de retard !

La science avance, et même je pense la volonté du peuple avance, la France recule...

Comment j'espère ne plus avoir à revivre en France !!!

Merci David de nous avoir fait part de ça, tiens-nous au courant du reste de la lecture du document (même si je suppose qu'il sera dans la même veine).

* « ADA Position adopted by the House of Delegates on October 18, 1987 [d'où le chiffre de 25 ans), and reaffirmed on September 12,1992, September 6, 1996 and June 22, 2000. », POSITION OFFICIELLE DE L’ASSOCIATION AMÉRICAINE DE DIÉTÉTIQUE ET DES
DIÉTÉTICIENS CANADIENS AU SUJET DE L’ALIMENTATIONVÉGÉTARIENNE1
 
Page 5 de la partie 4:

Les jus de soja, tonyu et autres desserts à base de soja sont des denrées alimentaires destinées aux adultes. Leur composition nutrionnelle n’est pas spécifiquement adaptée aux besoins nutrionnels du jeune enfant. Cette composition est très différente de celle du lait maternel ou des laits infantiles. L’appellation « jus de soja » doit être utilisée, et non « lait de soja », afin d’éviter toute méprise sur les qualités nutritionnelles de cette boisson, dépourvue de l’ensemble des minéraux et vitamines contenus dans le lait. En raison de leur teneur élevée en phyto-estrogènes et par mesure de précaution, les tonyu ou jus de soja et autres desserts à base de soja sont déconseillés chez l’enfant avant 3 ans27. Il ne faut pas confondre « jus de soja » et préparations infantiles à base d’isolats de soja : ces dernières sont soumises à la même réglementation que les autres préparations infantiles.
mandieu !!! :shock: :mmm:
 
Usagi.Chan":2jwy2deu a dit:
Page 5 de la partie 4:

Les jus de soja, tonyu et autres desserts à base de soja sont des denrées alimentaires destinées aux adultes. Leur composition nutrionnelle n’est pas spécifiquement adaptée aux besoins nutrionnels du jeune enfant. Cette composition est très différente de celle du lait maternel ou des laits infantiles. L’appellation « jus de soja » doit être utilisée, et non « lait de soja », afin d’éviter toute méprise sur les qualités nutritionnelles de cette boisson, dépourvue de l’ensemble des minéraux et vitamines contenus dans le lait. En raison de leur teneur élevée en phyto-estrogènes et par mesure de précaution, les tonyu ou jus de soja et autres desserts à base de soja sont déconseillés chez l’enfant avant 3 ans27. Il ne faut pas confondre « jus de soja » et préparations infantiles à base d’isolats de soja : ces dernières sont soumises à la même réglementation que les autres préparations infantiles.
mandieu !!! :shock: :mmm:
Bah là je ne vois pas ton problème, il y a des laits de soja infantile, mais le lait de soja de base en brique n'apporte pas les besoins nécessaire à l'enfant hein c'est pas un mensonge ^^
Le lait maternisé de base de vache, et aussi pas assez riche pour les petits c'est pour ça qu'on les laits infantiles ^^
Sur ce coup lait de vache, et tonyu même combat ^^
 
Morceaux choisis au début de document :

2.4. Augmenter les apports en fer
Des apports en fer insuffisants augmentent le risque d’anémie.
Le BNM varie de 5,4 à 12,3 mg de fer par jour en fonction des populations concernées (voir annexe 7).
Afin de faciliter l’application de ces préconisations par les responsables de la restauration publique, le
GEMRCN recommande des apports moyens journaliers de 6 mg pour la petite enfance et les enfants en
maternelle et en classe élémentaire, de 12 mg pour les adolescents au collège ou au lycée, et dans la
restauration collective pour adultes, et de 7 mg pour la restauration des personnes âgées en institution.
Le fer contenu dans les viandes et les poissons est beaucoup mieux assimilé que le fer d’origine
végétale. Il est important que les personnes se soumettant à des régimes restrictifs, notamment les
adolescentes et femmes adultes non ménopausées qui ont des besoins plus importants de ce nutriment, n’excluent pas ces denrées.



Des apports en fer supplémentaires aux personnes âgées ne se justifient pas 12 .
En ce qui concerne la petite enfance, la prolongation d’une alimentation principalement lactée
pendant la période de diversification est indispensable pour prévenir l’insuffisance d’apports en fer,
fréquente chez les jeunes enfants : l’allaitement maternel (associé, à partir de six mois, à une
alimentation diversifiée) ou, si l’enfant n’est pas allaité, la prise d’au moins 500ml par jour d’une
préparation pour nourrisson ou d’une préparation de suite (Cf. § 4.1.3.1) 13 s’avère, à ce titre,
indispensables.
C'est clairement anti-végétarien.
Et bien sur, rien sur la vitamine C qui favorise l'absorption du fer contenu dans les végétaux


2.5. Augmenter les apports calciques
Des apports nutritionnels insuffisants en calcium peuvent conduire à une fragilité osseuse.
Les produits laitiers sont indispensables pour satisfaire les apports en calcium ; le calcium venant d’autres
aliments (légumes en particulier, eaux) sert de complément.
Le BNM varie de 385 à 950 mg par jour en fonction des populations concernées (voir annexe 7). Afin de
faciliter l’application de ces préconisations par les responsables de la restauration publique, et en tenant
compte des objectifs nutritionnels par population indiqués ci-dessus en 2, le GEMRCN recommande des
apports moyens journaliers de 400 mg pour la petite enfance, de 550 mg en maternelle, de 800 mg en
classe élémentaire, de 1000 mg dans les collèges et les lycées, de 700 mg pour les adultes, et de 1000 à
1200 mg pour les personnes âgées en institution.
De façon plus générale, le GEMRCN recommande 3 à 4 produits laitiers par jour (lait, lait fermenté,
yaourts, desserts lactés, fromages...), en privilégiant les plus riches en calcium laitier, les moins gras et
les moins sucrés.
Contrex contient 500mg par litre de calcium, peut à elle seule suffire, mais ce n'est qu'un complément, voyons !

2.7. Diminuer les apports en protéines pour les enfants de moins de 3 ans
L'estimation des besoins en protéines des nourrissons et jeunes enfants varie entre 7 et 10 g/jour
selon la méthode utilisée, le type d'alimentation considéré, allaitement maternel ou préparation
infantile, et les courbes de croissance servant de référence. Or il est constaté que les apports de
protéines des enfants recevant une préparation infantile sont actuellement 2 à 2,5 fois plus élevés,
particulièrement lors de la diversification alimentaire 14 . Il est recommandé de réduire ces apports
élevés qui n’ont pas de justification nutritionnelle. Cette recommandation a pour objectif de
diminuer la taille des portions servies, et non leur densité nutritionnelle.
Pourtant, le lait humain est moins riche en protéine que le lait de vache, à quantité égale. Mais pour eux, c'est un problème de quantité de portion !

Structure du déjeuner : Plat protidique comprend exclusivement Viande, jambon, poisson, ou œuf, à partir de 12 mois, le fromage doit être présent

3.2.1. Petit déjeuner des enfants scolarisés, des adolescents, des adultes et des personnes âgées
en cas de portage à domicile
Il est composé de 3 à 7 éléments selon le type de population servi en restauration collective :
- une boisson : café, café décaféiné, thé, chocolat, tisane, chicorée etc. ;
- un élément céréalier: pain, biscottes, ou autre produit céréalier ;
- un élément lipidique: beurre etc.; ;
- un élément sucré : confiture, gelée, miel, etc. ;
- un fruit, un jus de fruit, une compote ou une purée de fruit, etc.
- du lait, un yaourt, fromage ou autre produit laitier ;
- un autre élément protidique : jambon, œuf, etc.
En restauration scolaire ou pour l’adulte en bonne santé, il est recommandé que le petit déjeuner
comporte au minimum 3 éléments : un aliment céréalier, un produit laitier, et un fruit.
3.2.3. Repas principaux des enfants scolarisés, des adolescents, des adultes et des personnes âgées en
cas de portage à domicile
Les 4 ou 5 composantes des 2 repas principaux sont généralement constituées de(Cf. annexe 6 Glossaire):

entrées : crudités, cuidités, entrées de légumes secs et ou d’autres féculents, entrées protidiques
(œuf, poisson), préparations pâtissières salées, charcuteries;
• plats protidiques : - plat principal à base de viande , poisson, œuf ou abats ;
-préparations pâtissières salées servies en plat principal (crêpes salées, friands
divers, pizzas, tartes, quiches, tourtes) ;
-charcuteries servies en plat principal (préparation traditionnelle à base de
chair de porc, boudin noir, saucisses diverses, crépinettes, etc.) ;
• garnitures : légumes, légumes secs, pommes de terre, produits céréaliers ;
• fromages ou produits laitiers : lait demi-écrémé, lait fermenté ou autre produit laitier frais,
fromage, dessert lacté ;
• desserts : fruit crus entier ou en salade, fruit cuit ou au sirop, pâtisserie, biscuit, sorbet, dessert
lacté, glace.
Quels que soient le nombre et le choix des composantes du menu, il convient de veiller à ce qu’un fruit
cru ou un légume cru, ainsi qu'un produit contenant du calcium laitier soient toujours servis. Les apports
en calcium laitier des entrées et des desserts sont pris en compte.
Le pain fait partie intégrante de chaque repas. Il peut être remplacé par des biscottes, du pain de mie ou
des céréales pour adulte dans le cas des personnes ayant des problèmes de déglutition ou de mastication
Et si au cours du même repas on a mangé des pâtes ?

Pour satisfaire aux besoins protidiques et calciques des personnes âgées, il est recommandé d’enrichir les
boissons lactées avec du lait en poudre demi-écrémé à raison de 10 %. La boisson doit être d’au moins
200ml de lait. Si la personne ne consomme pas de lait, on doit lui proposer un laitage ou une portion de
fromage.
3.3.3. Composition du petit-déjeuner des personnes âgées en institution
Le petit déjeuner étant toujours un des repas les plus appréciés par cette population, il doit être d’apport
énergétique élevé : par exemple café au lait sucré enrichi de poudre de lait demi-écrémé, pain beurre et
confiture, jus de fruit à teneur garantie en vitamine C. Le jus de fruit peut-être proposé plus tard, vers
10h.
Pour une population hospitalisée ou en maison de retraite, nécessitant un apport spécifique à définir
dans le cahier des charges, les composantes du petit déjeuner peuvent être complétées par un aliment
protidique de leur choix, type fromage, fromage blanc, jambon ou œuf et/ou par un fruit ou un jus de
fruit.
3.3.4. Composition du déjeuner et du dîner des personnes âgées en institution
Les menus doivent être conçus autour de 5 composantes le midi et d’au minimum 4 le soir.
Du fait de l’âge, la nourriture doit être salée et assaisonnée sans restriction. Pour les personnes ayant un
faible appétit, il convient d’encourager l’ajout de sel, d’aromates ou d’épices
3.3.4.2. Plats protidiques
Il est recommandé de proposer au déjeuner une ration complète de viande ou de poisson, conformément
aux grammages ici préconisés (cf. annexe 2), et de complèter souvent ces apports protidiques du midi par
un apport supplémentaire le soir.


4.1.1.1. Recommandations relatives aux matières grasses ajoutées
Pour respecter les objectifs nutritionnels définis ci-dessus, il est judicieux de choisir des matières
grasses dont la composition améliore l’équilibre lipidique, par exemple des matières grasses
différentes pour les assaisonnements et les cuissons.
• Beurre et crème peuvent être utilisés pour assaisonner certaines recettes (pâtes, purée par exemple),
mais en petite quantité. Dans toutes les autres recettes, l’utilisation d’huiles végétales est préconisée.
• Afin d’obtenir un bon équilibre entre acides gras et les apports adéquats en vitamine E, il faut tenir
compte de la composition des huiles.
Aucune huile n'a une composition nutritionnelle idéale, il faut donc obligatoirement avoir recours à
plusieurs huiles. Parmi les huiles les plus courantes et les moins chères :
- l'huile de colza est la meilleure source d'oméga-3, et présente un excellent rapport entre acides gras
oméga-6 et oméga-3, mais elle contient relativement peu de vitamine E ;
- l'huile de tournesol est la plus riche en vitamine E, mais son rapport oméga 6/oméga 3 est très
défavorable (trop d'oméga-6 par rapports aux oméga-3) ;
Les mélanges contenant au moins du colza (majoritaire) et du tournesol (minoritaire) sont ainsi
conseillés 18 . En particulier, le mélange 80 colza/20 tournesol est économique et présente une composition
nutritionnelle optimale.
L'emploi d'huiles de noix et d'olive, plus chères mais très intéressantes à la fois sur les plans gustatif et
nutritionnel, est compatible avec ces mélanges.
• Les graisses de palme ou de coprah sont à éviter du fait de leur forte teneur en acides gras saturés.
• Il convient d’être attentif à l’utilisation des margarines (à consommer telles quelles ou à mettre en
œuvre en cuisine), et aux préparations à base de matières grasses, en ce qui concerne leur teneur en
acides gras saturés et acides gras trans.
• Si la qualité des graisses d’assaisonnement est déterminante, il en est de même pour leur
quantité. Les quantités conseillées pour l’assaisonnement sont détaillées en annexe 2 « grammages ».
• Il faut limiter les sauces d'accompagnement riches en lipides (béarnaise, mayonnaise
traditionnelle, etc.), en sel (sauce soja, etc.) ou en sucre (ketchup, etc.). Il convient d’éviter aussi
les recettes additionnées de charcuterie, et préférer des assaisonnements simples à base de
citron, et des cuissons vapeur ou à l’étouffée avec aromates.
Pour éviter les excès, les sauces riches en lipides (mayonnaise, vinaigrette notamment) ne doivent pas
être laissées systématiquement en libre accès, mais servies avec discernement et modération.
4.1.1.2. Recommandations relatives au sel 19 et aux sauces
Pour les enfants de moins de 3 ans ou scolarisés, ainsi que pour les adolescents, le sel n’est pas laissé en
libre accès, et les sauces sont proposées en fonction du plat, et disposées à cet effet à proximité
immédiate du comptoir de service des plats, afin que le personnel du service puisse contrôler leur
utilisation.
La communauté scientifique considère qu'une consommation de 4g de sel par jour est suffisante pour
satisfaire les besoins d'un adulte, et que les apports journaliers ne doivent pas être inférieurs à 1 à 2g/jour.
Une surconsommation de sel (plus de 12g/jour) pourrait être néfaste, l'excès de sel favorisant
l'augmentation de la pression artérielle et le développement de maladies cardiovasculaires.Une
consommation excessive serait également un facteur de risque d'ostéoporose.

Le sel ajouté aux plats par le consommateur lui-même représente 1 à 2 g par jour, soit seulement 10
à 20 % des apports quotidiens. Près de 80% des ces apports sont ainsi liés aux aliments
manufacturés. Les produits manufacturés les plus contributeurs au regard des apports en sel sont : le
pain et les biscottes, la charcuterie, les fromages, les plats cuisinés, les soupes et potages, les quiches
et pizzas, les sandwiches, les condiments et sauces, ainsi que les pâtisseries.

Considérant ces différents éléments, l’ANSES a recommandé en 2002 une baisse de la
consommation de sel de 20% sur 5 ans, afin que soit atteint une consommation moyenne de 7 à
8g/jour chez l’adulte.
Les résultats de l’enquête INCA 2 2006/2007 montrent une consommation moyenne chez les adultes de
7,7 g/j, hors sel ajouté par le consommateur. Avec 1 à 2 g de sel ajouté (soit 10 à 20 % en plus), cela
correspond à une consommation totale de sel de 8,7 à 9,7 g/j.
Heureusement qu'en même temps, il préconise des repas contenants ces mêmes aliments trop salés
4.1.2. Recommandations relatives aux allergies alimentaires des enfants scolarisés
Il convient que tout enfant ayant, du fait de problèmes médicaux, besoin d’un régime alimentaire
particulier, défini dans le projet d’accueil individualisé (PAI), puisse profiter des services de restauration
collective (établissements d’accueil de la petite enfance, écoles maternelles ou élémentaires, collèges,
etc.) selon les modalités suivantes :
- soit les services de restauration fournissent des repas adaptés au régime particulier en application
des recommandations du médecin prescripteur ;
- soit l’enfant consomme, dans les lieux prévus pour la restauration collective, les repas fournis par
les parents, suivant les modalités définies dans le PAI respectant les règles d’hygiène et de
sécurité.
(Cf. bulletin officiel de l’Education nationale -BOEN- n°34 du 18 septembre 2003 relatif à l’accueil en
collectivité des enfants et des adolescents atteints de trouble de la santé évoluant sur une longue période.)
Au moins ça pour les personnes intolérantes au lactose, au gluten, les allergiques au lait, aux oeufs...

4.1.3.2. Jus de soja
Les jus de soja, tonyu et autres desserts à base de soja sont des denrées alimentaires destinées aux adultes.
Leur composition nutrionnelle n’est pas spécifiquement adaptée aux besoins nutrionnels du jeune enfant.
Cette composition est très différente de celle du lait maternel ou des laits infantiles. L’appellation « jus de
soja » doit être utilisée, et non « lait de soja », afin d’éviter toute méprise sur les qualités nutritionnelles
de cette boisson, dépourvue de l’ensemble des minéraux et vitamines contenus dans le lait. En raison de
leur teneur élevée en phyto-estrogènes et par mesure de précaution, les tonyu ou jus de soja et autres
desserts à base de soja sont déconseillés chez l’enfant avant 3 ans 27 . Il ne faut pas confondre « jus de
soja » et préparations infantiles à base d’isolats de soja : ces dernières sont soumises à la même
réglementation que les autres préparations infantiles
.
Quelques points positifs malgré tout (vu que l'allergie au lait de vache est fréquente chez les tout-petits, heureusement !)
 
Kahte":3fbawkmm a dit:
Usagi.Chan":3fbawkmm a dit:
Page 5 de la partie 4:

Les jus de soja, tonyu et autres desserts à base de soja sont des denrées alimentaires destinées aux adultes. Leur composition nutrionnelle n’est pas spécifiquement adaptée aux besoins nutrionnels du jeune enfant. Cette composition est très différente de celle du lait maternel ou des laits infantiles. L’appellation « jus de soja » doit être utilisée, et non « lait de soja », afin d’éviter toute méprise sur les qualités nutritionnelles de cette boisson, dépourvue de l’ensemble des minéraux et vitamines contenus dans le lait. En raison de leur teneur élevée en phyto-estrogènes et par mesure de précaution, les tonyu ou jus de soja et autres desserts à base de soja sont déconseillés chez l’enfant avant 3 ans27. Il ne faut pas confondre « jus de soja » et préparations infantiles à base d’isolats de soja : ces dernières sont soumises à la même réglementation que les autres préparations infantiles.
mandieu !!! :shock: :mmm:
Bah là je ne vois pas ton problème, il y a des laits de soja infantile, mais le lait de soja de base en brique n'apporte pas les besoins nécessaire à l'enfant hein c'est pas un mensonge ^^
Le lait maternisé de base de vache, et aussi pas assez riche pour les petits c'est pour ça qu'on les laits infantiles ^^
Sur ce coup lait de vache, et tonyu même combat ^^
Ah mince, en relisant, je me rend compte que j'ai mélangé lait de soja et lait infantile à base de soja ... :red:
Je pensais au témoignage d'une maman vgl (dans le livret sur la végéphobie) qui s'est vu refuser à la maternité des donner du lait de soja maternisé à son fils.
 
Usagi.chan c'est pas grave hein ^^ ça arrive à tout le monde ^^
 
Je n'ai pas souhaité participer jusqu'ici, les textes étant un peu trop difficile pour ma petite concentration.
En lisant vos messages, ça a été simplifié, même si ce n'est pas dans l'intégralité.

Je suis écoeurée, choquée !!!
Cette année et tant que ce sera possible, les enfants reviendront manger à la maison le midi. Pour le papa c'est le prix. Pour moi aussi avec les intentions de leur faire manger un minimum de viande.
Mais un jour, ce ne sera peut être plus possible. Et s'ils sont devenus végétariens d'ici là ?? Pffffffff !

Je soutiens les familles et enfants végétariens qui ont à subir tout ça...

Vive la France...
 
Je me sens comme une juive des années 40. Je ne m'étais jamais sentie aussi trahie par mon pays.
 
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