V3nom
Moulin à graines
De ce que j'en sais, selon l'interprétation faite des textes bibliques (ça a déjà été battu et rebattu sur ce forum d'ailleurs), l'homme doit "soumettre" ou bien "protéger" le reste de la création. (selon aussi donc la philosophie et les intérêts de celui qui interprète)
Autant la première, tout le monde ici conviendra de son caractère purement utilitariste et spéciste, autant la seconde, qui selon moi respecte pourtant une certaine attitude responsable allant de pair avec un grand pouvoir, cela reste une forme de spécisme "positif" : je suis ton supérieur, je vais te protéger -tu ne peux vivre correctement sans moi-". (on y voit facilement le même parallèle qu'entre hommes et femmes)
Du reste, évidemment Janic que personne ici ne considère vivre au pays des bisounours, et que l'égalité (de droit à la vie au moins, ne tombons pas dans le débat absurde du droit de vote, de payer des impôts ou que sais-je) inter-espèces est un idéal vers lequel tendre. Tout comme tout autre combat, je ne conçoit pas que l'esclavagisme ni le sexisme soient résolus non plus, c'est pas une raison pour abandonner.
Oui la bible peut avoir une interprétation végétarienne voire végétalienne ou végane, en revanche je n'ai jamais lu qu'elle pouvait être antispéciste.
Si les 3 premières notions sont individuelles et/ou spirituelles (pragmatique ajouterais-je même), la 4eme est infiniment sociale et politique.
Or je crois que toutes formes de spiritualités (religieuse, théiste, ou pas) ont en commun d'avoir comme sujet principal celui qui la recherche/pratique. Ce sont donc des positionnements individuels, personnels et souvent dans un but quelque peu "purifiant".
L'antispécisme lui se veut (idéalement) empathique et altruiste au delà de l'espèce. (et son sujet principal est les animaux non humains et leur sort)
Elle peuvent s'opposer effectivement. Elle peuvent aussi se compléter, et je pense que ça serait intéressant d'étudier cette possibilité. (se compléter dans une optique sociale et tendant vers l'altruisme -une vie "indépendante" étant fondamentalement absurde-)
A l'image des représentations Śūnyatā. (qui sont pour moi les plus pertinentes et logiques)
Autant la première, tout le monde ici conviendra de son caractère purement utilitariste et spéciste, autant la seconde, qui selon moi respecte pourtant une certaine attitude responsable allant de pair avec un grand pouvoir, cela reste une forme de spécisme "positif" : je suis ton supérieur, je vais te protéger -tu ne peux vivre correctement sans moi-". (on y voit facilement le même parallèle qu'entre hommes et femmes)
Du reste, évidemment Janic que personne ici ne considère vivre au pays des bisounours, et que l'égalité (de droit à la vie au moins, ne tombons pas dans le débat absurde du droit de vote, de payer des impôts ou que sais-je) inter-espèces est un idéal vers lequel tendre. Tout comme tout autre combat, je ne conçoit pas que l'esclavagisme ni le sexisme soient résolus non plus, c'est pas une raison pour abandonner.
Oui la bible peut avoir une interprétation végétarienne voire végétalienne ou végane, en revanche je n'ai jamais lu qu'elle pouvait être antispéciste.
Si les 3 premières notions sont individuelles et/ou spirituelles (pragmatique ajouterais-je même), la 4eme est infiniment sociale et politique.
Or je crois que toutes formes de spiritualités (religieuse, théiste, ou pas) ont en commun d'avoir comme sujet principal celui qui la recherche/pratique. Ce sont donc des positionnements individuels, personnels et souvent dans un but quelque peu "purifiant".
L'antispécisme lui se veut (idéalement) empathique et altruiste au delà de l'espèce. (et son sujet principal est les animaux non humains et leur sort)
Elle peuvent s'opposer effectivement. Elle peuvent aussi se compléter, et je pense que ça serait intéressant d'étudier cette possibilité. (se compléter dans une optique sociale et tendant vers l'altruisme -une vie "indépendante" étant fondamentalement absurde-)
A l'image des représentations Śūnyatā. (qui sont pour moi les plus pertinentes et logiques)